Les marchés de la santé en France et en Europe au XX e siècle
Bruno Valat (dir.), Presses universitaires du Midi, 2021, 367 pages
Bruno Valat (dir.), Presses universitaires du Midi, 2021, 367 pages
CAC, CGSCOP, 2022, 606 pages
Le premier numéro de la Revue des études coopératives (REC), daté d’octobre-décembre 1921, s’ouvre sur une Lettre à nos lecteurs dont les premières lignes sont les suivantes : « La Revue des études coopératives tient au moment de son apparition à exposer à ses lecteurs les raisons qui ont décidé de sa constitution et les buts qu’elle poursuit. Sans doute on voudra d’abord savoir qui nous sommes.
À la fin de cette année 2021, la Recma aura 100 ans.
La Recma a été fondée par Charles Gide et Bernard Lavergne. La notoriété de Charles Gide dans le monde universitaire permet de réunir la signature de 200 intellectuels à la sortie du premier numéro, dans lequel Gide publie pourtant un article très virulent – « un texte pamphlétaire », dit André Chomel 1 – expliquant « pourquoi les économistes n’aiment pas la coopération ».
Les 7 et 8 février 2020, le Cedias-Musée social (Paris) organisait un colloque intitulé « Dynamiques, méthodes et perspectives pour l’histoire de l’ESS », avec le soutien de la Comue Paris-Lumières, du CHS (Centre d’histoire sociale des mondes contemporains), du GRHIS (Groupe de recherche d’histoire de l’Université de Rouen), du CHRS-Uqam (Centre d’histoire des régulations sociales de l’Université du Québec à Montréal), de l’Addes (Association pour le développement des données sur l’économie sociale) et du Ciriec (Centre international de recherches et d’informat
L’Organisation internationale du travail (OIT) a été fondée en 1919, au lendemain de la Première Guerre mondiale, dans le sillage de la Société des Nations (SDN), ancêtre de l’ONU. Son premier directeur, le socialiste Albert Thomas (1878-1932) (Voir la fiche biographique d’Albert Thomas dans Patricia Toucas-Truyen et Michel Dreyfus (dir.), 2005, Les Coopérateurs. Deux siècles de pratiques coopératives, Paris, Éd. de l’Atelier, p. 403-404.), s’est particulièrement illustré dans l’essor du mouvement coopératif en France au début du XX e siècle.
Jean-François Draperi, Presses de l’économie sociale/Fédération nationale des coopératives de consommateurs, 2017, 85 pages
À l’occasion de la rentrée scolaire, Éric Weill, président de l’OCCE (Office central de la coopération à l’école), a adressé une lettre aux parents d’élèves expliquant le fonctionnement et l’objectif des coopératives scolaires : « Dans l’école, la coopérative scolaire OCCE accompagne les projets coopératifs initiés par les élèves et leurs enseignants : ainsi, les enfants et les jeunes développent leur connaissance du monde, leur esprit critique, et deviennent des acteurs positifs pour une société plus solidaire et démocratique.
Alors que l’association Esper (l’Économie sociale partenaire de l’école de la République, née en 2010), en partenariat avec l’Office central de coopération à l’école (OCCE) et Coop FR, a renouvelé, du 26 au 31 mars, la semaine « Mon ESS à l’école », le groupe de travail « Formation des éducateurs à l’ESS » constitué en son sein avançait dans l’élaboration du matériel pédagogique à destination des enseignants du primaire et du secondaire. Ce groupe mobilise des enseignants, des universitaires et des responsables de l’ESS, et poursuit deux objectifs stratégiques.
Le 13 septembre dernier, la Fédération nationale des coopératives de consommateurs (FNCC) fêtait à la Maison de la Chimie, à Paris, le centième anniversaire de la loi de 1917 sur l’organisation des coopératives de consommateurs. Dans sa version d’origine, la loi du 7 mai 1917 s’inscrit dans un contexte particulier. En effet, de nombreuses coopératives de consommateurs avaient été créées dans la seconde moitié du xix e siècle.