Mutuelles

La Mutualité française, partie prenante d’une coalition à visée sociale et écologique

À la demande de la Mutualité française, le Premier ministre a reçu le 27 août une délégation composée de 19 organisations de l’ESS et syndicats (ATD Quart Monde, CFDT, CFTC, Cimade, Fage, Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l’homme (FNH), Francas, France Nature Environnement (FNE), France Terre d’asile, Humanité et Biodiversité, Fondation Abbé-Pierre, Ligue de l’enseignement, Mouvement associatif, Mutualité française, Pacte civique, Réseau Action Climat, Secours catholique, Uniopss, Unsa.), qui sont à l’origine du « Pacte du pouvoir de vivre ».

La contribution mutualiste au débat sur la loi de bioéthique

Dans un communiqué de presse du 9 juillet, la Mutualité française a fait part de la position des mutuelles à propos de la loi de bioéthique en cours de révision. Fruit d’une réflexion collective menée en interne par le mouvement mutualiste (https://placedelasante.mutualite.fr/etats-generaux-de-la-bioethique-la-c...), cette contribution tend à placer l’humain et la solidarité, concepts phares de l’ESS, au cœur du débat législatif.

Les jeunes salariés des mutuelles s’épanouissent au travail

Une étude réalisée par l’Ifop pour l’Anem (Association nationale des employeurs de la Mutualité) (www.anem-mutualite.fr. L’Anem regroupe les organismes relevant du Code de la mutualité, ce qui exclut les mutuelles-assurances) et en collaboration avec le CJDES (Centre des jeunes dirigeants de l’économie sociale) auprès des salariés mutualistes de moins de 35 ans révèle que 83 % d’entre eux sont satisfaits de leur situation professionnelle.

La MGEN conquérante

Il est révolu le temps où chaque mutuelle de fonctionnaires se cantonnait à recruter des adhérents dans son vivier. La cohérence professionnelle était alors une marque identitaire forte de la mutuelle, qui était, de ce fait, facilement repérable dans le paysage de la protection sociale. Bien loin également le temps où un « pacte de non-agression » inscrit dans le code de la Mutualité pour empêcher la concurrence interne garantissait l’existence d’un front mutualiste uni et solidaire contre un monde assurantiel où le cannibalisme était de mise.

Le grand oral mutualiste des candidats au Parlement européen

Le 11 avril 2019, la Mutualité française a invité les représentants des dix principales listes (sur 34) candidates aux élections européennes à venir s’exprimer sur cinq thématiques cruciales pour l’orientation de l’Union européenne : solidarités, santé, développement durable, numérique et innovation, travail et emploi. Cet événement a été organisé avec le soutien du Parlement européen et en partenariat avec Public Sénat, Courrier international, touteleurope.eu et l’association citoyenne Le Mouvement européen.

Les mutualités au sein de l’Union européenne

Comme la Mutualité française, l’AIM milite depuis des années en faveur de la création d’un statut de mutuelle européenne. En vingt ans, le projet a été plusieurs fois suspendu et repris, notamment en 2012 par Benoît Hamon, alors ministre délégué chargé de l’Économie sociale et solidaire. Le principal   obstacle à son aboutissement est l’hétérogénéité de la Mutualité en Europe, en ce qui concerne tant la structure juridique des entités que leur positionnement par rapport aux régimes obligatoires et aux assureurs commerciaux.

Mutuelles-assurances : un nouveau partenariat, une rupture

La Maif, en partenariat avec le groupe MGEN, a élaboré une offre de santé collective pour la protection sociale des salariés des associations, dont elle est le premier assureur. Il s’agit de répondre à un besoin exprimé par ses associations adhérentes. La Maif sera l’interlocuteur de premier niveau, tandis que le groupe MGEN, par l’intermédiaire de sa filiale MGEN Solutions, s’occupera de la gestion des contrats.

La loi Pacte et les mutuelles

L’article 184 de la loi Pacte du 22 mai 2019 comprend une disposition réservée aux mutuelles de santé et d’assurance, à l’exclusion des autres entreprises de l’économie sociale et solidaire : la présence obligatoire d’administrateurs salariés dans les structures comprenant plus de mille salariés. Il s’agit simplement d’améliorer la représentation des salariés dans les conseils d’administration.