La gestion coopérative : un modèle performant face aux défis de l’avenir
Daniel Côté, JFD éditions, 2018, 425 pages
Daniel Côté, JFD éditions, 2018, 425 pages
Pascal Glémain, Éd. Apogée, 2019, 1 117 pages.
Nicole Alix, Jean-Louis Bancel, Benjamin Coriat et Frédéric Sultan (dir.), Les liens qui libèrent, 2018, 320 pages.
Laurent Lasne, préface de Dominique Boullier, Éd. Le Tiers Livre, 2018, 230 pages
Claire Hédon, Didier Goubert et Daniel Le Guillou, ATD-Quart Monde/Éd. de l’Atelier, 2019, 320 pages.
Philippe Eynaud et Genauto Carvalho de França Filho, Eres, 2019, 245 pages
A l'occasion de la parution de l'article Téléconsultation médicale : les enjeux d'un nouveau marché pour les organismes complémentaires d'assurance maladie, la Recma vous invite à partager un petit déjeuner avec :
Depuis quelques années, deux éléments semblent se conjuguer dans le domaine de la coopération agricole. Les crises agricoles font naître des interrogations tant de la part des adhérents que des pouvoirs publics sur le fonctionnement des coopératives. Par ailleurs, la loi « pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable », promulguée le 1 er novembre 2018, suscite des questionnements au moment où une ordonnance est en cours d’élaboration.
Les rencontres du GESS (Gestion des entreprises sociales et solidaires) sont des moments d’échange et de réflexion importants pour les chercheurs en sciences humaines et sociales (académiques ou praticiens) partageant l’ambition d’une approche renouvelée sur les pratiques de gestion à partir d’un regard venu de l’économie sociale et solidaire (ESS).
Les trois journées sur l’histoire de la coopération organisées par le Centre Georges-Chevrier de l’Université de Bourgogne les 19 octobre 2017 (« Travailler en coopérative »), 8 février 2018 (« Échec et pérennisation des expériences coopératives ») et 15 novembre 2018 (« Coopératives et modernisation ») ont tenu toutes leurs promesses. Leur ambition était de décaler le regard pour privilégier une approche sociale, voire anthropologique, de la coopération, en insistant sur les pratiques des acteurs plutôt que sur l’histoire des institutions.