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Le monde mutualiste a son mot à dire sur les politiques de santé

Dans ce contexte d’incertitude, le pire serait, pour le mouvement mutualiste, d’attendre de savoir à quelle sauce il sera mangé. Bien au contraire, la Mutualité française entend, selon les termes de son président à l’assemblée générale de juin 2017, « être acteur et force de proposition ». Cette volonté s’est concrétisée lors de la campagne présidentielle par une interpellation continue des candidats sur leurs intentions en matière de politique de santé.

SCOP-TI en difficulté : appel au socio-financement

Trois ans après sa fondation, la société coopérative provençale de thé et infusions SCOP-Ti, fondée en 2014 par   les anciens salariés de Fralib à Gémenos (Bouches-du-Rhône), reste financièrement fragile. Afin de pouvoir  assurer la publicité de ses produits et consolider leur place sur le marché de la grande distribution, la coopérative a décidé en juin de lancer une vaste campagne de financement participatif. Celle-ci a déjà rapporté plus de 110 000 euros en deux mois.

SCOP-TI en difficulté : appel au socio-financement

Trois ans après sa fondation, la société coopérative provençale de thé et infusions SCOP-Ti, fondée en 2014 par   les anciens salariés de Fralib à Gémenos (Bouches-du-Rhône), reste financièrement fragile. Afin de pouvoir  assurer la publicité de ses produits et consolider leur place sur le marché de la grande distribution, la coopérative a décidé en juin de lancer une vaste campagne de financement participatif. Celle-ci a déjà rapporté plus de 110 000 euros en deux mois.

Les coopératives jeunesses de services (CJS) (4) : quel bilan à la fin de l’été ?

Ce concept, venu du Québec il y a une vingtaine d’années, a le vent en poupe et la faveur de la presse régionale dans les dix régions où fonctionnent des CJS (Site : Cooperer.coop/les-cooperatives-jeunesse-de-services). Durant l’été 2017, quarante-sept CJS ont été créées (trente-deux en 2016) pour aider des jeunes âgés de 15 à 19 ans à organiser collectivement leurs jobs estivaux. Il s’agit généralement de proposer des services (bricolage, jardinage, animation, nettoyage, garde d’enfants...) à des particuliers ou à des structures comme des maisons de retraite.

La coopérative Sodiaal face à la crise laitière

La coopérative Sodiaal, qui rassemble 20 000 des 60 000 producteurs laitiers français, occupe le huitième rang des coopératives françaises. Propriétaire des marques Candia, Entremont et Yoplait, elle est aussi la troisième coopérative laitière européenne et la cinquième mondiale. En dépit (ou à cause) de cette prospérité, elle a dû faire face à la grogne des producteurs très malmenés par la chute des cours du lait qui a suivi la fin de la politique européenne des quotas laitiers en avril 2015.

Les contrats aidés : une remise à plat, mais laquelle ?

Contrats starter, emplois d’avenir, contrats uniques d’insertion... Les contrats aidés, destinés aux publics les plus éloignés du marché du travail (demandeurs d’emploi de longue durée, jeunes en grande difficulté...), correspondent à des emplois spécifiques pour lesquels l’embauche et l’accompagnement sont appuyés financièrement par l’Etat. En juin dernier, la Cour des comptes critiquait cette « jungle de dispositifs » qui coûtent entre 2 et 3 milliards d’euros par an et qui, selon elle, « sont loin d’avoir fait la preuve de leur efficacité ».

La dynamique des créations d’association

L’étude annuelle « La France associative en mouvement » de Recherches & Solidarités offre une image somme toute encourageante de la création d’associations en France. 73 320 nouvelles associations ont été créées en 2016-2017, essentiellement dans le domaine de la culture (22,2 %) et des sports (15,3 %). Ceci confirme le retour de l’embellie après les années 2010-2013 marquées par un tassement des créations d’association.

L’économie circulaire veut faire la part belle aux initiatives de l’ESS

Fin septembre, Brune Poirson, secrétaire d’Etat auprès de Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, a présenté sa feuille de route sur l’économie circulaire, qui s’intègre au Plan climat du quinquennat. La secrétaire d’Etat et son ministre de tutelle ambitionnent de « réconcilier l’économie et l’écologie », c’est-à-dire de réduire les émissions de CO 2 tout en créant des emplois.