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"Le choc coopératif" de Benoit Hamon (35e congrès des Scop)

A Marseille, pour le 35e Congrès des Scop, le ministre Benoit Hamon a promis un véritable "choc coopératif" (ou "caresse coopérative"- sic- pour ceux que le "choc de compétitivité" a pu commotionner). En s’adressant à 1200 congressistes salariés-coopérateurs, le ministre a bien évidemment pris soin de cibler les Scop dans ce choc coopératif, mais bien chagrin sera le coopérateur des autres familles qui boudera son plaisir à l’évocation des sept grands « leviers » annoncés.

Congrès de la CGScop, Marseille, 15-16 novembre 2012, le bilan

Cet événement s'inscrira résolument dans le cadre de l'Année internationale des coopératives, avec une Journée mondiale de la coopération de travail associé, en présence d'experts et de dirigeants de coopératives de travail du monde entier. Le Congrès s'achèvera par un échange franco-brésilien en présence de Benoît Hamon, ministre de l'Économie sociale et solidaire, et de son homologue brésilien, Paul Singer, secrétaire d'État en charge de l'Économie sociale et solidaire.

Lionel Orsi (CGScop): créer un nouveau statut ou aménager celui des Scop pour faciliter la reprise des entreprises par leurs salariés

Lionel Orsi, directeur juridique de la Confédération générale des Scop, explique les enjeux du nouveau statut de coopérative proposé par le ministre de l’Economie sociale et solidaire.  "Il faut trouver le moyen de permettre qu’un tiers extérieur puisse être majoritaire au capital, pendant un certain temps après lequel il se verra rembourser son investissement (avec plus-value) grâce à l’activité de la coopérative. C’est une façon d’étaler le financement en justifiant le fait que les salariés ne soient pas majoritaires pendant un temps donné. Ce n’est pas un système qui a vocation à durer. La coopérative doit ensuite reprendre son destin en main. Il faut que cela reste un statut de Scop transitoire. Les Scops sont soumises à des règles (dans la loi de 1947, puis celle, plus spécifique de 1978). Un salarié égale une voix. Mais il existe des dérogations pour mettre entre les mains d’un tiers le capital. Aujourd'hui, cet investisseur ne peut pas avoir plus de 49% des voix démocratiques. Nous sommes obligés d’élargir les possibilités de financement."

Le groupe de recherche Popess (Marne la Vallée) et la CGScop cherchent un thésard sur l'innovation sociale dans l'ESS

le groupe de recherche POPESS de l'Institut de Recherche en Gestion - Université Paris Est (Pilotage des organisations et de la performance dans l'ESS ) vous propose de participer à un projet en partenariat avec la Confédération Générale des Sociétés Coopératives (CGSCOP) sur la thématique de l'innovation sociale.

La CGScop propose de développer l'actionnariat salarié : les réponses des candidats

Après avoir doublé fin 2010 l'intitulé légal des Sociétés coopératives ouvrières de production (Scop) par la marque "sociétés coopératives et participatives" , la Confédération générale des Scop entre le 12 mars 2012 dans la campagne présidentielle en proposant  6 mesures aux candidats, dont la création d'un statut de coopérative de salariés actionnaires.  Lire les réponses des candidats

Atelier de travail sur la création et le développement de SCE dans le domaine des services, 28 juin 2011, Paris

La Diesis, structure européenne et internationale de recherche et de développement au service de la coopération et de l’économie sociale, organise le 28 juin dans les locaux de la Confédération générale des Scop (37 rue Jean Leclaire 75017 PARIS) une journée de formation et d'information sur "la mise en place de structures d’information, de consultation et de participation dans une société coopérative européenne du secteur des Services"

Lancement des Parcours dirigeants et gérants de Scop. Séance information 27 avril, Paris

La Confédération générale des Scop a refondu son offre de formation à l’intention des dirigeants de structures. La prochaine promotion débutera en octobre 2011. Deux possibilités seront offertes, entre 23 jours et 30 jours répartis sur un an : un Parcours cadres dirigeants PME Scop, organisé en partenariat avec l’université Paris-Dauphine ; et un Parcours gérants de TPE coopératives, organisé avec l’École d’entrepreneuriat en économie sociale (EEES).

Coopératives et circuits courts, le lundi 29 novembre 2010 à Paris

La Fédération Nationale des CUMA et la Confédération Générale des SCOP organisaient le 29 novembre dernier à Paris une journée de réflexion sur « Coopératives et circuits courts ». Comment comprendre l’effervescence des initiatives tant en matière alimentaire (Amap, vente à la ferme, paniers solidaires…) qu’en matière énergétique (production et diffusion de plaquettes de bois et autres énergies renouvelables…).

« Scop » pour « Sociétés coopératives et participatives » ?

Suite au dernier congrès de la CGScop tenu à Poitiers au printemps 2008, le conseil national du mouvement s’est prononcé pour un changement de la marque « Scop entreprise ». Confié à l’agence de communication à qui l’on doit « l’Artisanat, la 1ere entreprise de France », le projet a été soumis courant octobre aux adhérents. « Scop entreprises » deviendrait « les Scop : sociétés coopératives et participatives ».

Taxis paris solidaires, une histoire coopérative du taxi parisien et du groupement Gescop

Laurent Lasne. Editions Le Tiers Livre, 2007, 312 pages.

Le taxi est, par excellence, un révélateur de l’évolution sociale, économique et technique de la société et des luttes sociales qui la traversent. Dans Taxis paris solidaires, Laurent Lasne nous propose de découvrir une histoire coopérative du taxi parisien en retraçant l’histoire de ce métier et surtout des hommes qui ont mené la course sur la chaussée souvent glissante (et pas seulement du fait du pavage en bois de l’avenue des Champs-Elysées dans les années 1880). C’est aussi l’histoire du rapport entre capital et travail, ainsi que celle de la participation. De l’ère de la traction hippomobile à celle du guidage par GPS, certains ont choisi de prendre « la route alternative de la coopération », comme le souligne Jean-François Morève, alors directeur de Gescop – la plus importante société coopérative française (Scop) en nombre d’associés –, dans son avant-propos.