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Pact for Impact Summit : une alliance internationale autour de l’ESS

Cette montée en puissance et cette structuration de l’ESS vont-elles dépasser les frontières européennes ? Au siège de l’ONU, à New York, le 16 avril dernier, Christophe Itier, Haut-Commissaire à l’ESS, a annoncé la tenue d’une rencontre qui réunira « des États, des institutions et des acteurs en faveur du développement de l’ESS, de l’économie inclusive et de l’innovation sociale » : le Pact for Impact Summit.

La Maif et Carrefour : des entreprises à mission

Quelques jours après la promulgation de la loi, la Maif (mutuelle d’assurance des instituteurs de France) annonçait être le premier groupe français à s’engager sur la voie de l’entreprise à mission selon la loi Pacte, montrant que l’on peut relever de l’ESS et vouloir ajouter des labels. L’évolution de son statut sera soumise au vote des sociétaires lors de son assemblée générale en 2020. Sa « raison d’être » devra être approuvée, des engagements concrets devront

La loi Pacte précise et complète la loi ESS de 2014

La Loi Pacte, si elle a d’emblée été conçue de manière à ne pas interférer avec les modalités propres à l’ESS, vient toutefois apporter des précisions à l’article 2 de la loi ESS de 2014 en identifiant des domaines supplémentaires d’activité relevant de l’utilité sociale : la culture, la transition énergétique et écologique et la solidarité internationale.

La Semaine de l’ESS à l’École : bilan 2019

Les dispositifs proposés par l’Esper, l’OCCE et Coop FR aux plus jeunes dans le cadre de la Semaine de l’ESS (25 au 30 mars) connaissent une progression :
– La Semaine de l’ESS à l’école (principalement destinée aux élèves de la maternelle et du primaire), qui avait démarré dans quatre régions il y a trois ans, couvre désormais la quasi-totalité du territoire national, en métropole aussi bien qu’en outre-mer. Deux cents initiatives ont permis à dix mille élèves de

Des évolutions financières mais aussi sociologiques

Toujours lors de cette conférence, à l’occasion d’une autre séquence, Guillaume Legaut, directeur général de l’UCPA, a pu mettre en lumière une autre facette des enjeux et mutations qui pèsent sur le secteur associatif : « Ce qui fait tomber les associations, c’est la gouvernance, le renouvellement des générations, des évolutions de l’engagement – là où on pouvait confier une mission à deux ou trois bénévoles il y a quinze ans, il en faut dix aujourd’hui » a-t-il expliqué.

Encourager la philanthropie à la française ?

En filigrane de ces échanges, c’est la question de la « philanthropie à la française » qui a été abordée. En France, comme l’a rappelé Gabriel Attal, « l’État participe au mécénat et à la philanthropie par la fiscalité incitatrice qui y est associée, ce qui diminue ses recettes ». De là à souhaiter que les entreprises prennent le relais des pouvoirs publics et des subventions, la pente est dangereuse.

Deux ordonnances secouent le monde de la coopération agricole

Le 24 avril dernier ont été promulguées deux ordonnances en application de la loi agriculture et alimentation (Egalim) du 30 octobre 2018. L’une est relative à la séparation des activités de conseil et de vente pour les produits phytosanitaires ; l’autre, concernant la coopération agricole, prévoit notamment une meilleure lisibilité des informations délivrées aux associés-coopérateurs sur leur rémunération ainsi qu’une amélioration de la gouvernance des coopératives.