Maaf: des résultats 2011 atypiques
La mutuelle niortaise a publié ce mardi 15 mai des résultats annuels 2011 hors normes. Son activité d'assurance-vie affiche en effet une hausse de 14.7% de sa collecte brute, sur un marché en baisse de 14%.
La mutuelle niortaise a publié ce mardi 15 mai des résultats annuels 2011 hors normes. Son activité d'assurance-vie affiche en effet une hausse de 14.7% de sa collecte brute, sur un marché en baisse de 14%.
La Mutuelle générale de l'Éducation nationale (MGEN) a présenté ce mardi un bénéfice net de 19 millions d'euros en 2011, contre 71,6 millions l'année précédente. Elle a subi en 2011 l'entrée en vigueur de la taxe spéciale sur les conventions d'assurance (TSCA), portée à 7% le 1er octobre dernier.
Le commerce équitable a changé leur vie. Depuis qu’elles ont été contactées par l’association Fair Trade Lebanon, les femmes de la coopérative de Nejmet Essobah dans la Békaa font partie intégrante de l’économie de leur village. Plus d’une trentaine de familles de Mheidthé bénéficient de leurs activités, tandis que leurs produits sont désormais vendus sur les marchés internationaux. Rencontre avec ces femmes qui font vivre leur village.
Uniformation a étendu, à toutes les régions, sa plateforme d’informations et de services aux salariés et demandeurs d’emploi, lancée en test en 2011 sur trois régions (Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes). Baptisée InfoParcours, elle apporte des informations et des conseils destinés à aider les personnes dans la construction de leur projet professionnel, en:
Opérationnelle depuis le 2 mai, la nouvelle Imprimerie de l'Etoile, située en zone artisanale de Sainte-Anne à Tourouvre (Orne), a fait un redémarrage réussi. C'est l'histoire d'une vie d'entreprise qui rebondit après une phase critique en 2011. Le 29 février, c'en était fini de l'imprimerie Le bon caractère, et le 2 mai, les dossiers bouclés et les autorisations en mains, c'est reparti pour L'imprimerie de l'Etoile. Ça valait le coup de se lancer dans l'aventure mais, bien sûr le montage du dossier a représenté plusieurs mois de démarches et de course aux différentes autorisations des instances administratives. « Nous avons opté pour la création d'une SCOP, Société coopérative ouvrière de production. »
La Fédération Régionale de la Coopération Agricole et la Fédération Régionale de la Coopération Vinicole viennent de fusionner au sein de Coop de France Languedoc-Roussillon, un puissant outil qui rassemble les coopératives de toutes les filières agricoles de la région. "C'est une organisation essentiellement viticole mais aussi agricole avec par exemple les producteurs de fruits et légumes et les oléiculteurs qui souhaitent mettre en avant à la fois des coopératives à taille humaine et leurs spécificités méditerranéennes", détaille Boris Calmette, le président. Il s'agit de rassembler plus de 30 000 associés coopérateurs, membres de 420 coopératives et 500 Cuma qui emploient 12 000 salariés et réalisent 2,9 milliards de chiffre d'affaires.
Le 25 avril 1922, 12 délégués de cinq coopératives d’assurance se réunissaient dans les bureaux de la Lega Cooperativa, à Rome. Mr Joseph Lemaire, Directeur Général de La Prévoyance Sociale, en Belgique, avait organisé la réunion de ces coopératives qui étaient toutes membres de l’ Alliance Coopérative Internationale (ACI). Les organisations représentées étaient les suivantes : La Prévoyance Sociale (aujourd’hui, P&V Group), Belgique ; Folket & Samarbete (aujourd’hui, Folksam), Suède ; La Centrale Arbeiders Verzekerings en Depositobank (aujourd’hui, SNS Reaal), Pays-Bas ; le bureau d’assurance Lega Cooperativa (aujourd’hui Unipol Group), Italie, et L’Assurance Ouvrière, France. Au cours de la première réunion, le Président, Joseph Lemaire, formula la résolution suivante : "En vertu des principes de solidarité internationale représentés à la conférence de Rome, les délégués des coopératives ou des sociétés ouvrières d’assurance vie et d’assurance incendie décident de former un comité d’étude qui gérera un service d’information permanent au profit des sociétés membres actuelles et futures."
Le Parlement européen invite la Commission à revoir le statut de la société coopérative européenne (SCE) et à y introduire des dispositions concernant la participation des travailleurs. Dans un rapport d’initiative adopté le 13 mars, les députés estiment en effet que le statut actuel n’est pas adapté aux spécificités des coopératives en Europe. Face au faible succès de ce cadre juridique, les députés proposent de le simplifier « afin de rendre plus accessible, facilement compréhensible et plus simple à mettre en œuvre, de manière à garantir les droits de tous les salariés à l'information, à la consultation et à la participation ».
Pascal Pavageau, pour FO, signe dans Miroir Social une intéressante analyse de la responsabilité sociale des entreprises: origines, réponse aux exigences du développement durable, aux crises du capitalisme et la nécessité de réguler les grandes firmes internationales (aujourd'hui les entreprises dès 500 salariés ou 100 millions de chiffres d'affaires), et ses conséquences pratiques au sein des entreprises : "Nombreux sont les employeurs qui, tout en reconnaissant le rôle important des organisations syndicales, considèrent désormais que le dialogue social ne peut se restreindre à elles seules et préconisent une ouverture à la société civile. Dans un contexte de reprise en main néo-libérale, de liquidation des droits sociaux, cette externalisation du dialogue social constitue au-delà de la complexification des rapports employeurs/salariés un risque de marginalisation de l’organisation syndicale de salariés qui ne serait plus qu’un des nombreux interlocuteurs de l’employeur." "Certains analystes de la RSE comme Alain Supiot, estiment qu’il s’agit pour les entreprises de s’arroger le privilège de produire le droit, et pas seulement dans l’économie ou le droit du travail, et même de produire l’ordre au sens général."
Après avoir rencontré les Etats-majors de campagne et interrogé par écrit les candidats à l’élection présidentielle, ADPM FEDERATION est consternée par l’approximation et l’inconsistance de leurs réponses. Il est en effet paradoxal, que l’avenir du système de santé, sujet d’inquiétude majeur pour les Français en ces temps de crise, soit, dans les débats qui entourent la Présidentielle 2012, maintenu dans un silence assourdissant, alors que les questions de santé n’en demeurent pas moins contingentes à tout projet de gouvernement.