Festival des Solidarités
18 novembre-4 décembre : Festival des Solidarités.
Rendez-vous international pour promouvoir et célébrer une solidarité ouverte au monde et aux autres,
18 novembre-4 décembre : Festival des Solidarités.
Rendez-vous international pour promouvoir et célébrer une solidarité ouverte au monde et aux autres,
24-27 juin : 7 e Conférence internationale du réseau Emes sur le thème : « Sustainable development through social enterprise, cooperative and voluntary action ». Université de Sheffield Hallam, Royaume-Uni.
3-4 juillet. Rencontre organisée par le Réseau des collectivités territoriales pour une économie solidaire (RTES) sur le thème « Coopération et solidarité internationale & économie sociale et solidaire ». Paris.
Artisans du Monde, CCFD Terre-Solidaire, France Amérique Latine, Fondation France Libertés, IPAM, le Mouvement de la Paix, les Petits Débrouillards, Peuples Solidaires, RITIMO, et le CRID organisent les 2-5 juillet à Rennes l'Université de la solidarité internationale. Le CCFD organise une journée le 16 janvier pour les organisations souhaitant participer.
Un billet, toujours éclairant, du québécois Louis Favreau sur "quelques considérations sur l’économie sociale (quelle économie sociale après l’adoption d’une loi ?), sur le développement local (small is beautiful, vraiment ?), sur l’urgence écologique (la valeur éducative du DD est-elle suffisante ?) et sur la solidarité internationale du Québec (quel avenir par temps difficiles ?)
Notre ami Louis Favreau publie un intéressant billet sur l'impérieuse transition écologique des coopératives québécoises, la loi en cours d'examen sur l'ESS et la solidarité internationale. Nous reproduisons ici la partie sur la loi cadre (déjà évoquée à de nombreuses reprises ici ou là au sujet des syndicats, par exemple), où l'auteur revient sur la définition de l'économie sociale et la place des associations ("communautaire" outre Atlantique) dans cet ensemble.
Un projet de loi, le projet de loi 27 sur l’économie sociale a été déposé par le gouvernement du Québec en début d’année. Depuis lors toutes les organisations de ce «tiers secteur» c’est-à-dire les coopératives, les mutuelles et les associations ayant des activités marchandes, s’affairent à produire leur mémoire dans l’éventualité d’une commission parlementaire sur la question. [...] L’économie sociale en France, ce sont les coopératives, les mutuelles et les grandes associations à vocation économique (grandes, moyennes et petites). L’«économie solidaire» à la française, indépendamment de son discours un peu «inflationiste», correspond davantage au monde associatif de nos centres de la petite enfance, de nos OBNL en habitation et de nos petites entreprises de services à domicile par exemple. L’intérêt de ce projet de loi du gouvernement du Québec est d’afficher des couleurs qui vont dans le sens européen du terme : additionner les différentes dynamiques sans en négliger aucune. Un article de Louis Favreau
Le Québec compte environ 7 000 entreprises d'économie sociale qui emploient 125 000 personnes pour huit millions d'habitants. Ces entreprises génèrent un bénéfice collectif de plus de 17 milliards $, ce qui représente environ 8% du PIB de la province. Si l’économie sociale remonte à plus de 150 ans dans la Belle Province, sa reconnaissance publique ne remonte qu'à la fin du XXe siècle. L'actuel examen d'une loi cadre y représente, comme en France, un événement politique majeur.
Un document de position expose les principales recommandations de Coordination SUD sur les sujets essentiels des Assises du développement et de la solidarité internationale.
Par Anne-Françoise TAISNE pour le Comité Français pour la Solidarité Internationale. "L’économie sociale et solidaire – une réponse à la crise écologique et financière"
La crise financière a révélé la fracture croissante d’une économie globale de plus en plus déconnectée du social. La dérégulation, comme la pratique d’entreprises multinationales ont des impacts majeurs pour les pays les moins avancés notamment pour des groupes entiers de la population. A cette crise, s’ajoute une crise écologique qui montre les limites des modes de production et de consommation.