Actualidad y perspectiva de la economía social y solidaria en México
Carola Conde Bonfil (coord.) ed. Universidad Autonóma Metropolitana unidad Xochimilco, 2022.
Carola Conde Bonfil (coord.) ed. Universidad Autonóma Metropolitana unidad Xochimilco, 2022.
Pour son premier anniversaire, la section mexicaine du Ciriec a organisé le 30 mai 2020 un colloque en ligne intitulé « Perspectivas internacionales de la Economia social y solidaria ante la nueva normalidad ». Les participants étaient invités à tirer un bilan de la crise sanitaire, économique et sociale et à s’exprimer sur les développements souhaitables de l’économie sociale et solidaire (ESS).
Le Centre international de recherche et d’information sur l’économie publique, sociale et coopérative (Ciriec) a récemment entrepris de créer une section en Tunisie à l’occasion d’un séminaire organisé le 29 octobre 2019 à Tunis avec l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT). Premier syndicat du pays, particulièrement bien implanté dans le secteur public, l’UGTT accompagne l’État, au sein d’un réseau, dans son choix stratégique de promouvoir l’économie sociale et solidaire (Voir R. Ben Abdallah, A. Béji-Bécheur et O.
Inaise (International Association of Investors in the Social Economy) organise avec le FOROLACFR (FORO Latino Americano y del Caribe de Finanzas Rurales) le 2e sommet international de la finance solidaire sur le thème "pour plus de justice économique" les 28-30 mai à Oaxaca (Mexique). L’objectif général de ce Sommet est de créer un espace pour les efforts de convergence internationale sur la « finance sociale et solidaire » qui permettra de donner de la visibilité aux différentes pratiques du « financement du développement » favorisant le développement de l’économie sociale.
Le Président de la République mexicaine Felipe Calderón a proposé le 26 septembre la création d’un Fonds de Capital pour les Entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire (FIDES), premier du genre, pour lequel le gouvernement apportera un capital initial de 100 millions de pesos géré par la Banque Nationale de Développement, Nacional Financiera.
L’article s’intéresse aux conditions qui permettent aux coopératives d’apiculteurs du Mexique et du Guatemala de contribuer au développement durable. Les liens possibles entre coopératives agricoles et développement durable sont d’abord présentés, en revisitant les statuts de ces organisations et leurs engagements dans différents mouvements du développement durable. L’analyse comparée des organisations apicoles de Mésoamérique révèle une diversité de situations et d’engagements, étudiés plus en détail pour trois coopératives du commerce équitable. Les résultats montrent le rôle clé du projet économique visant à améliorer la qualité du produit pour favoriser l’autonomie des coopératives. Mais cet engagement technique et commercial doit aussi s’insérer dans la construction d’un projet plus global faisant converger les projets d’adhérents hétérogènes pour gérer la diversité des ressources locales influençant la production de miel, et notamment la biodiversité.
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Les commissions de promotion des coopératives et de l’économie sociale de l’Assemblée nationale mexicaine ont tenu leur deuxième congrès international les 18 et 19 mars à la Chambre des députés de Mexico. Plusieurs représentants de l’économie sociale européenne y étaient invités, comme la Confédération espagnole d’entreprises de l’économie sociale (Cepes) ou le Ceges. Alors qu’en France les différentes familles de l’ESS peinent à trouver les termes d’une parole commune et des terrains d’investissement partagés, pour les députés de cet Etat fédéral, les représentants des structures de l’ESS mexicaine et ceux du Mercosur (marché commun d’Amérique du Sud), la crise actuelle démontre l’impérieuse nécessité de l’économie sociale et solidaire.