Actualités

« L’ESS peut-elle permettre de vivre sans Amazon ? »

26 janvier : « L’ESS peut-elle permettre de vivre sans Amazon ? », visioconférence organisée par ESS France dans le cadre de la République de l’ESS et du site « flash » vivre-sans amazon.org, qui a porté pendant un mois un plaidoyer pour faire émerger des alternatives de l’ESS aux géants du e-commerce. De
14 h 30 à 16 heures.

Inscriptions sur https://register.gotowebinar.com/register/655171902574503182

 

Date limite de l’appel à contributions pour la 8 e conférence internationale de recherche en économie sociale

30 janvier : Date limite de l’appel à contributions pour la 8 e conférence internationale de recherche en économie sociale, organisée par le Ciriec international, qui se déroulera du 8 au 10 septembre 2021 à San José, au Costa Rica. Son thème : « Solidarité et économie sociale et l’Agenda 2030 : développement inclusif et durable grâce à des pratiques sociales innovantes ».


Informations sur https://bit.ly/2UuqBYK

« L’ESS de 1980 à 2030. Mémoires, leçons, projets »

18 février : « L’ESS de 1980 à 2030. Mémoires, leçons, projets », une conférence organisée à l’occasion du centenaire de la Recma et de la parution de trois ouvrages : Ruses de riches. Pourquoi les riches veulent maintenant aider les pauvres et sauver le monde, de Jean-François Draperi (Cestes-Cnam, rédacteur en chef de la Recma) ; Essentiellement humain. L’économie sociale et solidaire pour un XXI e siècle citoyen, de Roland Berthilier (président de la MGEN) ; et  L’Économie sociale et solidaire.

L’économie sociale et solidaire, des alternatives au néolibéralisme ?

Il est sans doute plus urgent que jamais de rouvrir le débat sur la capacité de l’économie sociale et solidaire (ESS) à constituer des alternatives à l’économie dominante et au néolibéralisme. De le rouvrir au sein de la société civile dans le sens que lui donne Gramsci et qui renvoie à tous les acteurs produisant dans la superstructure des idées et des représentations participant de la fabrique de la société (1) .

Création de valeur au sein des institutions de microfinance de l’UEMOA : l’impact des parties prenantes

Les institutions de microfinance (IMF) ont pour objet de prêter de l’argent aux populations qui ne disposent pas de moyens suffisants pour accéder au système bancaire formel. Ces IMF regroupent plusieurs acteurs susceptibles de poursuivre des objectifs et des intérêts différents, voire conflictuels, ce qui peut être source d’inefficience. Cet article s’intéresse à l’impact des parties prenantes des IMF sur la richesse créée en leur sein dans les huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). L’auteur montre que, si le volume des crédits accordés aux clients et la qualité de l’indice de macro-gouvernance de chaque pays ont une influence positive sur la richesse créée par les IMF, les résultats sont plus mitigés en ce qui concerne l’impact des apports des propriétaires ou des sociétaires, ainsi que des subventions publiques. Dans tous les cas, les épargnants, les prêteurs et la clientèle féminine n’ont aucune influence significative sur la création de valeur de ces IMF.

Numéro de revue: 
359
Année de publication: 
2021
Auteur(s): 
Mamadou Ndione

100 years of RECMA, the international journal of the social economy

RECMA, (1) or the Revue internationale de l’économie sociale (International Journal of the Social Economy), was founded in 1921 by Charles Gide (1847–1932) and Bernard Lavergne (1884–1975) under the original title REC, or Revue des études coopératives (Journal of Cooperative Studies). This year, it is celebrating its 100th anniversary. To mark the occasion, it has partnered with the International Co-operative Alliance’s European research committee to organize an international conference on July 7–9, 2021.

In memoriam Philippe Frémeaux

C’est en plein cœur de l’été que Philippe Frémeaux nous a quittés, après avoir longtemps lutté contre la maladie qui a fini par l’emporter à l’âge de 70 ans. Philippe était un militant exigeant de l’ESS, ayant forgé son engagement dans la direction de la Scop Alternatives économiques, où il avait succédé à son fondateur, Denis Clerc.