Le soutien de l’Etat aux coopératives de transport israéliennes, à l’origine de la perte des valeurs coopératives dans le contexte néolibéral
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Jusqu’en 2000, 97 % des bus israéliens étaient gérés par des coopératives. Les coopératives de transport sont encore de loin les principaux opérateurs dans le domaine des transports publics du pays, mais l’orientation néolibérale du gouvernement a visé dès lors à créer un marché compétitif en encourageant leur démutualisation. Le secteur a été transformé en un marché fragmenté de monopoles de petite envergure, contrôlés par des sociétés capitalistes. En quoi les coopératives sont-elles concernées par la privatisation ? Les chantres de la privatisation en Israël défendent l’idée que ce ne sont pas seulement les entreprises d’Etat qui ne sont pas efficientes, mais plutôt l’ensemble des entreprises non capitalistes. La campagne publique initiée par le nouveau gouvernement suggérait que les employés du secteur public percevaient des salaires trop élevés pour un service de faible qualité et que les citoyens pourraient recevoir davantage en payant moins.
<p style="text-align: justify;">Until the year 2000, 97% of all public buses in Israel were operated by cooperatives. Transportation cooperatives are still by far the main public transportation providers in the country, but the declared aim of the government’s neo-liberal agenda to create a competitive market is actually leading to the de-mutualization of transportation cooperatives and turning the sector into a fragmented market of small-scale monopolies controlled by capitalist corporations. What do cooperatives have to do with privatization? The priests of privatization in Israel claim that not only are state-owned enterprises inefficient but so are all non- capitalist ones. The public campaign initiated by the new government suggests that public service employees are paid too much for the poor level of services they provide and that the general public can get more for less.</p>
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