Gérer et militer : une autre façon d’entreprendre pour les associations éducatives (IIe partie)
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Après avoir étudié les patronages et les centres sociaux, François Rousseau poursuit ses travaux sur les associations d’éducation populaire. A travers l’observation de nombreuses associations locales et d’une fédération nationale : la Fédération Léo-Lagrange, cette recherche vise à identifier comment sont gérées les initiatives collectives prises par des militants dans le secteur à but non lucratif. De l’artisan social à l’entrepreneur social, reste-t-il une place pour le projet associatif ? La problématique relevée par les premiers travaux apparaissait comme un noeud gordien : le développement des initiatives éducatives des associations, d’une part, leur reconnaissance par les pouvoirs publics, d’autre part, conduisent à une crise de sens (cf. Recma, n° 279) dans laquelle on ne sait pas qui instrumentalise (**). Cet article prolonge la réflexion en proposant une grille de lecture qui autorise le dépassement du conflit. La première partie de cet aticle a été publiée dans le numéro 286.
<p>Having studied youth clubs and social centers, the author of this article expands his research to encompass associations for worker education. Through observing a large number of local associations and one national federation (the Leo Lagrange federation), this study aims at identifying how collective initiatives set up by activists in the non-profit sector are managed. In the evolution from social artisans to social entrepreneurs, is there room left for associations? The issues raised in the first studies seemed to be a gordian knot. The development of educational initiatives by associations and their legal recognition by government at the same time caused a conflict of purpose (see Recma no. 279) in which it was hard to tell who was using whom. This article takes the thinking on this subject a step further by offering an analysis in which this apparent opposition can be overcome. The first part of this article was published in Recma no. 286.</p>
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