De la difficulté de concilier contrôle et démocratie, le cas des groupes coopératifs et d’économie sociale
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S’il existe des différences fondamentales entre entreprise capitaliste et entreprise d’économie sociale, la notion de groupe n’en reste pas moins, dans certains domaines, incontournable pour les unes et pour les autres. Résister à la concurrence, mais aussi mieux répondre aux attentes des usagers sociétaires avec une offre diversifiée, multiplier les pôles d’innovation…, la notion de groupe s’impose à nombre de structures qui veulent inscrire leur action dans la durée. Elle implique l’acceptation de plusieurs entités juridiques distinctes. Quelles difficultés spécifiques cela génère-t-il pour les entreprises d’économie sociale ? En l’absence de liens de capitaux au sein du groupe, comment le contrôle peut-il s’exercer ? L’auteur propose certaines pistes de réflexion, sur la base d’une distinction entre structures stratégiques, lieu du pouvoir, et structures opérationnelles. En analysant les liens établis au sein de groupes d’économie sociale – Crédit agricole, Crédit mutuel, Banques populaires, Mondragon… –, il met en évidence des dérives possibles et montre l’intérêt des « groupes de solidarité ».
<p>While there are fundamental differences between a capitalist firm and a social-economy enterprise, in certain sectors both have to address the issue of forming groups. In order to withstand competition, to satisfy better the expectations of users/members by offering greater variety, to increase the areas of innovation, etc., the issue of forming groups arises for a number of organizations that want to see their activities continue in the long term. The notion of a group implies accepting several distinct legal entities. What particular problems does this produce for socialeconomy enterprises? If there are no shareholding connections within the group, how can the control of the group be managed? The author proposes a few avenues of inquiry based on a distinction between strategic structures, power centers, and operational structures. Through an examination of the links established in socialeconomy groups (Crédit Agricole, Crédit Mutuel, Banques Populaires and Mondragon), he highlights some potentially unfortunate developments and shows the importance of what he calls “solidarity groups”.</p>
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