CJDES

"Un Parcours un Engagement : Jean-François Draperi", rencontres CJDES, 24 oct, Paris

Le Centre des jeunes, des dirigeants et des acteurs de l’économie sociale (CJDES), inaugure le 24 octobre prochain cycle de rencontres intitulé « un parcours, un engagement ». Un concept original pour des soirées conviviales où seront privilégiés les échanges entre une personnalité de l’ESS et l’auditoire. L’objectif de ces soirées : inspirer ! Le premier invité de ce cycle sera Jean-François DRAPERI.

Manager en Economie Sociale, Cohérence entre valeurs et pratiques managériales, inscriptions ouvertes

Le CJDES vous propose en collaboration avec l’école de management ESCEM (Paris-Tours-Poitiers), Un Certificat de Compétence en Management : Manager en Economie Sociale, Cohérence entre valeurs et pratiques managériales. Ce programme a pour but de former des managers et des futurs managers de proximité aux fondamentaux du management et aux spécificités de l’Economie Sociale. En permettant de comprendre les nouveaux enjeux qui s’imposent aux entreprises du secteur, sur chacun des champs du management, elle offre à chacun la possibilité de s'adapter et de gagner en efficacité, dans un univers professionnel toujours plus complexe.

Escem (Tours, Poitiers, Paris, Orléans): Cycle certifiant de Management en Economie sociale

L’ESCEM est aujourd’hui une école de référence, qui s’interroge sur les grands enjeux de notre temps permettant de (re)donner du sens au management. En élaborant des programmes sur-mesure, l’ESCEM Ecole de Management souhaite répondre aux attentes des entreprises et leur proposer une autre manière de faire face aux défis actuels en matière de croissance, d’innovation, d’environnement, de consommation, de lien social, de gouvernance…

QUELLES OPPORTUNITES POUR UNE ESS REAFFIRMEE ? Ou la capacité de l’ESS à constituer un modèle économique et social alternatif, CJDES 5 avril 2012

La crise économique, sociale, financière et écologique que nous traversons démontre les impasses du système actuel fondé sur la libéralisation à tout crin et le capitalisme financiarisé. Les politiques économiques menées dans ce même cadre, sans remise en cause des règles du jeu globales, sans questionnement démocratique, et à coup de plans de rigueur uniformément appliqués partout, ne seront pas efficaces pour espérer une sortie de crise, comme de nombreux économistes l’ont déjà écrit. Dans ce contexte, un changement de paradigme semble plus que jamais nécessaire. L’économie sociale et solidaire peut contribuer à faire émerger ce changement de paradigme, à travers le modèle alternatif qu’elle constitue. Mais pourra-t-elle et saura-t-elle y parvenir, ce qui impliquera nécessairement une prise de conscience de ses forces et de ses faiblesses, et surtout la réaffirmation forte de son identité et de son projet politique… ?

CJDES : Sensibilisation à l’économie sociale, 12-13 mai 2011, Paris

Le Centre des Jeunes, des Dirigeants et des Acteurs de l’Economie sociale (CJDES) organise les 12 et 13 mai prochains, au siège de la Confédération nationale du Crédit mutuel (75017), un module de sensibilisation à l’économie sociale, dont l’objectif est de mieux faire connaître la réalité de l’économie sociale, ses enjeux et projets actuels. Ce programme s’adresse à toutes les personnes entrants dans le secteur ou appelées à travailler avec les acteurs de l’économie sociale.

CJDES : formation à l'Economie sociale repoussée

Le Centre des Jeunes Dirigeants et des Acteurs de l’Économie sociale (CJDES), a mis en place depuis dix ans, un « module d’accueil » pour toutes les personnes, cadres, chargés de mission, élus, dirigeants, entrants au sein de notre secteur ou appelés à travailler avec les acteurs de l’économie sociale. Ce module a pour objectif de mieux faire connaître la réalité de l’économie sociale, ses enjeux et projets actuels, de promouvoir ses valeurs et de renforcer l’identité commune à ses trois familles.  La session 2010 prévue les 23-24 septembre est repoussée pour cause de grève nationale.

Mission Vercamer : le projet de label "entreprise sociale" source de confusion pour la CPCA, le CNCres, le CJDES, l'USGERES et le GNC

Début octobre 2009, le Premier ministre chargeait le député Francis Vercamer d'une mission  "sur le développement de l’économie sociale et de l’entrepreneuriat social". Depuis janvier 2010, l'équipe du député du Nord consulte quasi quotidiennement l'ensemble des acteurs concernés. Le 8 mars, les présidents de la Conférence permanente des coordinations associatives (CPCA), du Conseil national des chambres régionales d'économie sociale (CNCres), du Centre des jeunes, des dirigeants et des acteurs de l'économie sociale (CJDES), ainsi que du Groupement national de la coopération (GNC) et de l'Union de syndicats et groupements d'employeurs représentatifs  dans l'économie sociale (Usgeres) adressaient un courrier à M. Vercamer dont  l'un des axes importants de la mission est de proposer un label "entreprise sociale". Les présidents y rappellent les spécificités des structures du secteur, dont la détention collective de capital et la non appropriation individuelle des résultats, qui ne seraient pas prises en compte par les critères envisagés pour décerner le label "d'entreprise sociale".

Bilan sociétal: la mise en oeuvre du processus RSE au sein du secteur de l’économie sociale

La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) inscrit des préoccupations écologiques et sociales dans la politique des entreprises. L’article montre que le concept n’est pas nouveau, en remettant en perspective historique le questionnement éthique dans le champ économique. Les entreprises d’économie sociale intègrent depuis toujours cette dimension au travers des principes qui les fondent. Pour affirmer leur valeur ajoutée sociétale, elle s’appuie sur le bilan sociétal (**), à la fois outil et démarche, au sens où il permet une évaluation, mais aussi un apprentissage collectif. En étudiant sa mise en oeuvre au sein d’une mutuelle d’assurance, la Maif, l’auteur propose une réflexion sur l’instrumentalisation de la démarche RSE. L’opposition entre vision normative et conception utilitariste de l’éthique doit être dépassée : la primauté de valeurs fondatrices, telles que respect de la personne, humanisme, solidarité, démocratie, s’accorde avec le choix de n’intégrer que certaines catégories de parties prenantes (sociétaires, acteurs internes, fournisseurs) à la démarche, ou avec un arbitrage de la direction de la Maif quant aux demandes sociétales traitées. C’est aussi le processus d’apprentissage associé au bilan sociétal qui est analysé ici.

Numéro de revue: 
302
Année de publication: 
2006
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PDF icon 302_014039.pdf195.31 Ko
Auteur(s): 
Persais E.

Le bilan mutualiste de la Mutualité sociale agricole (MSA), à la recherche d’une meilleure gouvernance

A la suite d’une réflexion engagée en octobre 2001 sur la responsabilité des élus et des dirigeants, le conseil central de la Mutualité sociale agricole (MSA) a décidé de soumettre son fonctionnement mutualiste au regard de différentes parties prenantes et de réaliser un bilan mutualiste, démarche inspirée du bilan sociétal. Une première pour cet organisme de protection sociale géré de façon mutualiste depuis 1949 par des représentants élus tous les cinq ans, qui exercent une authentique démocratie de proximité. L’article présente les enjeux du bilan mutualiste pour l’institution, à la veille d’un profond changement, la méthodologie mise en oeuvre et les principaux résultats de la démarche. A chaque étape, le point de vue des responsables (élus MSA) et acteurs de ce bilan (consultants, CJDES) vient compléter la présentation, à travers la restitution d’interviews conduites par l’auteur.

Numéro de revue: 
294
Année de publication: 
2004
Fichier attachéTaille
PDF icon 294_027038.pdf195.31 Ko
Auteur(s): 
Riberolles B.