L’impact différencié de la crise sur les entreprises d’ESS

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« L’économie sociale et solidaire, parce qu’elle se tient globalement à l’écart d’une économie outrancièrement financiarisée et mondialisée, avait été  épargnée par la crise financière de 2008-2009. Cela ne sera pas le cas pour cette crise et, à n’en pas douter, le bilan va s’alourdir à mesure que notre pays est touché par la pandémie et par les conséquences économiques et sociales qu’elle entraînera encore tout au long de l’année 2021 au moins. Il n’est pas l’heure de finaliser les bilans, mais d’une part d’entrevoir les dynamiques en cours, et d’autre part de construire les solutions qui peuvent être apportées pour  redresser la tendance et renforcer nos modèles. » C’est en ces termes que Jérôme Saddier, président d’ESS France, a commenté les données statistiques sur  l’évolution de l’emploi dans l’ESS du premier semestre 2020, publiées par l’Observatoire national de l’ESS dans sa première note de conjoncture de l’année.  L’ESS perd 2,5 % de ses emplois en juin par rapport à l’année dernière, soit plus de 52 500 postes (et alors  que l’ensemble de l’emploi en France régresse de  2,7 % sur la même période). Les secteurs les plus touchés : les associations avec -3,2 % d’emploi, puis les mutuelles (-1,2 %) et enfin les coopératives (-0,2 %). Les fondations sont les seules à enregistrer une hausse de l’emploi, qui augmente de 3,2 %.
La « Note d’analyse de la conjoncture de l’emploi dans l’ESS au premier semestre 2020 » est consultable sur le site d’ESS France : https://ess-france.org/media/client/gridfichier/ressource1/essfrance_etu...