Base doc

Une ligne de production de masques solidaire à Bruxelles

Pour contribuer à la lutte contre la pandémie du virus Covid-19 et remédier aux ruptures de stock de masques à l’échelle internationale,l’entreprise de travail adapté (ETA) bruxelloise Travie a constitué une ligne de production de masques, avec le soutien de la Région bruxelloise et en consortium (avec notamment EcoRes, MAD, Home of Creators). L’objectif est de fabriquer au moins 100 000 masques avec l’aide d’une équipe de bénévoles, selon une approche de production décentralisée collaborative en Région bruxelloise.

L’économie sociale et solidaire, une filière prometteuse pour L’Étudiant

Revue appréciée des jeunes pour s’informer sur les métiers et les filières de formation, le magazine L’Étudiant rappelle ce que peut représenter l’ESS pour quelqu’un quicherche sa voie : « La priorité, pour l’ESS, c’est de transformer l’emploi – et donc les nouveaux métiers qui pourraient voir le jour demain, ou ceux qui doivent s’adapter à notre nouveau modèle de société – pour redonner du sens au travail. Agriculture, commerce, banque, ressources humaines, santé, sports et loisirs... Nombreux sont les domaines où l’économie sociale et solidaire fait sens.

Les Dialogues de la Recma consacrés à la microfinance au Maroc

Le 23 janvier, c’est autour d’Asmae Diani, professeure à l’université Sidi Mohamed Ben Abdellas de Fès et auteure de l’article « Logique d’acteurs et régulation dans le champ de la microfinance au Maroc : vers une commercialisation croissante » paru dans le dossier L’ESS au Maghreb du numéro 354 de la revue, que se sont déroulés les Dialogues de la Recma. L’événement était organisé à Paris, à la Confédération nationale du Crédit mutuel, et a permis de mieux découvrir plusieurs aspects de la microfinance marocaine.

L’apport des associations au bien-être des Français dans les territoires

Réalisée en janvier 2020 à la demande du Mouvement associatif, l’étude de l’Ifop intitulée « Le bien-être territorial. Vivre sa citoyenneté sur son territoire », portant sur un échantillon représentatif de la population française, révèle l’importance de la vie associative dans le sentiment de bien-être des habitants des territoires. Ainsi, ces derniers se disent plus heureux dans leurs localités grâce au tissu associatif et au bon ancrage territorial des associations. Cette reconnaissance de l’apport des associations est quasi unanime puisque :

Sonder et anticiper les conséquences de l’épidémie

« Quelles sont les conséquences de l’épidémie de covid-19 sur l’activité de votre association ? De quels soutiens et accompagnements avez-vous besoin pour faire face ? » : c’est en ces termes et au travers d’une vingtaine de questions que le Mouvement associatif, avec l’appui du réseau d’experts Recherches et

70% des associations (hors sanitaire et social) ont dû suspendre leurs activités

Cette enquête du Mouvement associatif auprès des associations a récolté en dix jours près de 12 000 réponses. Après échantillonnage de représentativité, plusieurs tendances se dégageaient à la date du 26 mars :
• 70% des associations ont dû suspendre leurs activités habituelles, hors cas des associations mobilisées sur les activités de première nécessité. En creux, on retiendra que seules 17% de l’ensemble des associations échappent à la difficulté liée au report ou à l’annulation des événements.

Le dilemme des associations caritatives face au covid-19

Suivre les consignes de confinement ou être sur le terrain (sans masque) pour aider les plus fragiles ? Pour les associations qui interviennent auprès de ceux qui vivent dans la rue, le confinement a soulevé des difficultés majeures : tout d’abord, les bénévoles sont souvent des personnes retraitées elles-mêmes fragiles face au virus.

Un tiers-secteur malmené par l’Union européenne ?

L’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep) a produit une étude sous la direction de Philippe Eynaud, Elisabetta Buccolo et Laurent  Gardin, intitulée « Les modèles socio-économiques du tiers-secteur en Europe : approches analytiques, contraintes et évolutions ».

La France bien placée dans le top 300 mondial des coopératives

Le World Cooperative Monitor (Observatoire mondial des coopératives) a publié fin janvier son 8 e rapport, fruit d’une collaboration entre l’ACI et Euricse (European Research Institute on Cooperative and Social Enterprise). Fondé sur les données financières de 2017, ce rapport a vocation à présenter les 300 coopératives et mutuelles ayant le chiffre d’affaires le plus élevé au niveau international.

La Coopération agricole... tout simplement

Coop de France, structure fédératrice de la coopération agricole, a changé d’appellation. Sa nouvelle identité – la Coopération agricole – est désormais on ne peut plus claire. Surtout, elle ne pourra plus être confondue avec Coop FR, organisation représentative de l’ensemble des coopératives françaises.