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Valérie Fourneyron, nouvelle secrétaire d'Etat à l'ESS

Le départ du ministre délégué M. Hamon pour le ministère de l'éducation nationale a été suivi de la nomination de Valérie Fourneyron, ex ministre des sports, vie associative et éducation populaire  du gouverment Ayrault, comme secrétaire d'Etat au commerce, l'artisanat, à la consommation et à l'ESS. Les associations rejoignent donc l'ESS, du moins peut on le supposer parce qu'elles n'apparaissent plus ailleurs, le tout à Bercy toujours (l'éduc pop disparait corps et âme).

Les jeunes s'expriment sur l’emploi dans l’ESS, 15 avril 2014, Paris

Le programme Jeun'ESS, animé par l'Avise, présentera le mardi 15 avril 2014 les résultats d'une étude Jeun’ESS sur l’emploi des 16-30 ans dans l’économie sociale et solidaire (ESS). Cette étude, réalisée par l’Avise en partenariat avec le CESOD, permet d’apporter un nouvel éclairage à visée opérationnelle sur les thématiques croisées : emploi, jeunesse et ESS, notamment en s’appuyant sur le point de vue des jeunes.

"Gestion des entreprises sociales et solidaires", 15-16 décembre 2014, Clermont-Ferrand, appel à communications jusqu'au 30 juin

Suite à la première édition de la journée de recherche GESS (Gestion des Entreprises Sociales et Solidaires) organisée en décembre 2013 par l’Université Paris-Est - IRG, nous aurons le plaisir de vous recevoir à Clermont-Ferrand les 15 et 16 décembre 2014. Les journées de recherche GESS ont pour vocation d’accueillir, dans un esprit pluridisciplinaire, des travaux de recherche centrés sur les entreprises opérant dans le champ de l’économie sociale et solidaire (coopératives mutuelles, SCIC, SCOP, associations, fondations, CAE…). L'appel à communications est ouvert jusqu'au 30 juin.

Le gouvernement change, les menaces sur la Sécurité sociale s'accroissent

Sous l'autorité du premier ministre, le Conseil d'analyse économique, sous la plume de Brigitte Dormont, Pierre-Yves Geoffard et Jean Tirole, a remis le 6 mars un rapport "Refonder l’assurance maladie", rendu public début avril,  préconisant de couvrir à 100 % les soins hospitaliers (à l’exception d’un forfait journalier ramené à 8 euros); le remplacement des tickets modérateurs pour les soins de ville par une franchise annuelle (non couvertes par les assurances) en fonction du revenu des patients; d'accroître la concurrence entre complémentaires santé en uniformisant leurs contrats, en supprimant les exonérations sociales pour les contrats collectifs et de mettre les caisses de sécurité sociale elles-mêmes en concurrence. Réactions "étonnées" de la FNMF qui craint un engorgement hospitalier et qui plaide pour des contrats solidaires et responsables rénovés ; et réaction  "consternée" des médecins libéraux (Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) qui refusent "l'étatisation de la médecine de ville et [leur transformation]  en salariés des Agence régionale de santé". Pour des raisons opposées, ils invitent l'exécutif à ne pas suivre ces recommandations, feignant d'ignorer que le Président de la République a confirmé sa très libérale politique d'austérité.