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La Mutualité française et le Pacte du pouvoir de vivre

En mars 2019, alors que le monde s’enfonçait dans la pandémie, le Pacte pour le pouvoir de vivre, signé par 19 organisations fondatrices dont la Mutualité française, formulait une série de propositions pour un modèle de société plus écologique, solidaire et démocratique. Ce pacte rassemble aujourd’hui plus de 60 membres issus du monde du travail, de l’éducation populaire, de l’ESS (notamment de la Mutualité) engagés auprès des populations vulnérables et démunies, dans l’aide aux migrants et la protection de l’environnement.

Les retrouvailles de la MAIF et de la Camif

Un bref retour historique s’impose pour comprendre comment MAIF et Camif reprennent leur compagnonnage après une éclipse de treize ans. En 1947, les responsables de la MAIF (Mutuelle assurance des instituteurs de France) décidaient de créer une organisation d’achats en commun, dont les bénéfices permettraient d’abonder une caisse de secours exceptionnels. Dans le contexte de rationnement de l’après-guerre, il s’agissait également d’aider les ménages d’instituteurs à se rééquiper en articles de qualité, moins chers que sur le marché.

Un Pacte mutualiste latino-américain à destination des jeunes

Les membres latino-américains de l’AIM (Association internationale de la Mutualité) ont élaboré et adopté un « Pacte mutualiste pour une plus grande implication des jeunes dans le mouvement ». Il s’agit d’une sorte de manifeste qui souligne sur le rôle clé de l’éducation au mutualisme, que ce soit dans le cadre des mutuelles scolaires ou au sein des universités. Les signataires insistent sur la nécessité d’en finir avec les stéréotypes sur la jeunesse, qui est en mesure de revitaliser le mouvement en lui apportant ses compétences propres.

Journée d’étude « La résilience des organisations de l’ESS : quels enseignements de la pandémie Covid-19 ? »

11 février, de 16h à 19h (en ligne, zoom) : Journée d’étude « La résilience des organisations de l’ESS : quels enseignements de la pandémie Covid-19 ? »,  organisée par le laboratoire LIREFIMO, Université Sidi Mohamed Ben Abdellah, Fès, Maroc.

Partenaires : Centre marocain des études et des recherches sur l’entreprise sociale (CMERES), Réseau marocain de l’ESS (REMESS), Recma.

Conférence «Evaluation de la résilience territoriale»

15 février, de 18h à 20h : Conférence Les Mardis de l’ESS, organisée par la chaire ESS de l’université Louis Lumière Lyon 2, en présentiel (16, quai Claude  Bernard). Thème : «Evaluation de la résilience territoriale».

Séminaire autour de l’étude de Jean-Louis Laville et Laurent Fraisse : «Quelles politiques locales de l’ESS dans 10 ans ? Enjeux, acteurs et instruments d’action publique»

16 février : séminaire de travail prospectif en visioconférence, de 14h à 16h30, autour de l’étude de Jean-Louis Laville et Laurent Fraisse : «Quelles politiques  locales de l’ESS dans 10 ans ? Enjeux, acteurs et instruments d’action publique». Evénement dans le cadre des 20 ans du Réseau des collectivités territoriales pour une économie solidaire (RTES). Le reste des célébrations est reporté au 4 mai, à Strasbourg. www.rtes.fr

 

Les Dialogues de la Recma avec Ahmed-Hamza Kouanda autour de son article « Les passeurs de l’ESS au Burkina Faso : acteurs, voies et modalités »

15 mars : « Les Dialogues de la Recma », rencontre avec Ahmed-Hamza Kouanda autour de son article « Les passeurs de l’ESS au Burkina Faso : acteurs, voies  et modalités », paru dans le n° 362 (octobre 2022) de la Recma. Rencontre matinale sur inscription au Cedias-Musée social, 5 rue Las Cases, Paris 7 e . Possibilité de suivre l’événement en ligne. www.cedias.org