Les projets de la commission européenne pour mesurer l’impact de l’entrepreneuriat social

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Un article de Cides : "Plus d’un an après l’adoption de l’Acte pour le marché unique I, qui considérait l’entrepreneuriat social comme un des douze leviers[1] de la croissance, la Commission européenne a publié le deuxième volet de cet Acte, le 3 octobre dernier. Un document où elle indique qu’il faut agir vite pour la visibilité et la mesure des gains socio-économiques de l’entrepreneuriat social. Et la France n’est pas en avance sur le sujet.

 L’Acte pour le marché unique II « Ensemble pour une nouvelle croissance » rappelle le rôle que jouent l’économie sociale et les entreprises sociales en matière d’innovation et d’inclusion. Il souligne surtout que « le plus urgent aujourd’hui est de développer des outils pour accroître la visibilité des entreprises sociales » et la nécessité de « se mettre d’accord sur de nouveaux outils pour montrer aux consommateurs, aux banques, aux investisseurs et aux autorités publiques l’impact positif qu’ont les entreprises sociales ».

Une sortie de crise

La Commission européenne semble convaincue qu’un changement d’échelle de « cet entreprendre autrement » représente une sortie de crise et un facteur de cohésion. Elle a annoncé qu’elle « développera une méthode pour mesurer les gains socio-économiques [que les entreprises sociales] produisent. La mise au point d’outils rigoureux et systématiques permettant de mesurer l’impact des entreprises sociales au sein de la communauté, sans pour autant les noyer dans la bureaucratie, est essentielle pour démontrer que l’argent investi dans celles-ci est source d’économies et de revenus important »[2].

Lire l'intégralité de l'article sur le site de Cides