Hamon-Peillon : économie sociale, éducation populaire et école républicaine, même combat!

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Le ministre de l'ESS Benoît Hamon l'avait annoncé lors du 35e congrès des Scop, il l'a confirmé jeudi matin au Salon de l'éducation : le "choc coopératif" se décline en un accord-cadre qui devrait être signé prochainement pour que "dans les écoles, les collèges et les lycées se développent des projets pédagogiques qui associent enseignants et acteurs de l'économie sociale et solidaire". En bon connaisseur des liens historiques étroits qui unissent l'école de la République au mouvement associatif (la Ligue de l'enseignement dès 1866), au mouvement ouvrier, mutualiste et coopératif, Vincent Peillon, ministre de l'éducation nationale s'est dit "ravi [...] de pou­voir annon­cer après tant d'années que l'économie sociale et soli­daire et les valeurs huma­nistes qui sont les siennes [...] sont tota­le­ment pré­sentes dans la vie de l'école." "Préparer cet accord-cadre est essen­tiel, a-t-il pour­suivi. On ne s'en sor­tira pas uni­que­ment avec l'économie. Il faut ensei­gner les valeurs [por­tées par l'ESS] et les ins­crire dans l'esprit de l'école". Ces valeurs "débordent très lar­ge­ment de l'économie, a affirmé le ministre. Je veux une école de la bien­veillance, je veux une école de la coopération !". Reste à voir concrètement comment les ministres répondent aux 10 engagements du manifeste lancé par l'Esper (L'économie sociale partenaire de l'école de la République) au début de l'année 2012.