SeaFrance, le projet de Scop, "intéressant" pour A. Montebourg
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Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a jugé aujourd'hui "intéressant" le modèle de coopérative ouvrière (scop) retenu pour l'exploitation de trois navires de la compagnie de ferries en liquidation judiciaire SeaFrance, soulignant son aspect "humain" et "non délocalisable". "Ce qui est intéressant, c'est que des salariés, des marins ont décidé d'organiser la poursuite de leur activité", a estimé M. Montebourg sur RTL. "Nous pensons que les coopératives ont une place importante car c'est un capitalisme à visage humain, non délocalisable", a-t-il poursuivi.
Interrogé sur l'opportunité d'utiliser le même modèle ailleurs, le ministre a noté que "cela ne peut fonctionner que s'il y a une volonté sur le terrain et si les salariés ont suffisamment de ressources en eux-mêmes (...) pour le faire"
Mais "c'est un modèle économique performant et très humain. Nous en avons besoin", a-t-il encore affirmé.
SeaFrance employait 880 personnes en France et 130 au Royaume-Uni. La compagnie exploitait quatre navires entre Calais et Douvres, dont trois qui lui appartenaient.
Le tribunal de commerce de Paris a choisi hier l'exploitant du tunnel sous la Manche, Eurotunnel, pour racheter ces trois navires.
Cette décision doit permettre à 560 salariés de retrouver un emploi, par le biais d'une Scop à laquelle Eurotunnel louerait les bateaux.
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