L’entrepreneuriat social, l’innovation au service du progrès social ou cheval de Troie du secteur marchand ? Paris, 15 oct 2010
Actu
Agenda
Base Doc
Toute la Recma
- 2010
- 2019
- 2018
- 2017
- 2016
- 2015
- 2014
- 2013
- 2012
- 2011
- 2010
- 2000
- 2009
- 2008
- 2007
- 2006
- 2005
- 2004
- 2003
- 2002
- 2001
- 2000
- 1990
- 1999
- 1998
- 1997
- 1996
- 1995
- 1994
- 1993
- 1992
- 1991
- 1990
- 1980
- 1989
- 1988
- 1987
- 1986
- 1985
- 1984
- 1983
- 1982
- 1981
- 1980
- 1970
- 1979
- 1978
- 1977
- 1976
- 1975
- 1974
- 1973
- 1972
- 1971
- 1970
- 1960
- 1969
- 1968
- 1967
- 1966
- 1965
- 1964
- 1963
- 1962
- 1961
- 1960
- 1950
- 1959
- 1958
- 1957
- 1956
- 1955
- 1954
- 1953
- 1952
- 1951
- 1950
- 1940
- 1949
- 1948
- 1947
- 1946
- 1945
- 1944
- 1943
- 1942
- 1941
- 1940
- 1930
- 1939
- 1938
- 1937
- 1936
- 1935
- 1934
- 1933
- 1932
- 1931
- 1930
- 1920
- 1929
- 1928
- 1927
- 1926
- 1925
- 1924
- 1923
- 1922
- 1921
- 1920
Alors qu'outre Atlantique, des chercheurs s'intéressant à l'entrepreneuriat social (bientôt dépassé par le concept d'"intrapreneur social") se demandent si "bien agir" est rentable pour une entreprise (réponse: non, mais ne pas le faire peut coûter cher), la Marie de Paris, dans le cadre de ses rencontres citoyennes, se pose la question "l’entrepreneuriat social, l’innovation au service du progrès social ou cheval de Troie du secteur marchand ?."
Le concept d’entrepreneuriat social est séduisant : à une époque où l’on veut concilier efficacité économique et responsabilité sociale, les tenants de ce mouvement ont l’ambition de mettre l’innovation économique au service du progrès de la société. Mais des tensions ne perdureront-elles pas entre l’économique et le social ?
Evidemment, tout cela interroge les frontières entre le secteur public, le secteur marchand et l’économie sociale et solidaire (ESS). Le débat est vif et les lignes de partage des opinions sont multiples au sein même de l’ESS. Pour les acteurs de l’entrepreneuriat social, ce sera le moyen de reconnaissance du caractère incontournable d’une économie sociale et solidaire. A l’inverse, d’autres dénoncent d’ores et déjà l’arrivée de la loi du marché dans un secteur qui était censé en être exempt. Mais il y a aussi ceux qui veulent considérer ces démarches comme complémentaires. Le débat est ouvert !
Animateur :
Guillaume Chocteau : délégué général de Ressources Solidaires
Intervenants :
- Seybah Dagoma : adjointe au Maire de Paris, chargée de l'économie sociale et solidaire
- Hubert Allier : directeur général de l’ UNIOPSS (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux), vice-président de la CPCA (Conférence Permanente des Cooordinations Associatives) en charge de l’économie sociale, des financements et des relations contractuelles
- Jean-Marc Borello : délégué général du Groupe SOS, président du MOUVES (Mouvement des Entrepreneurs Sociaux)
- Jean-François Draperi : directeur du CESTES (Centre d’Economie Sociale Travail et Société) au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers) et rédacteur en chef de la Revue internationale de l’économie sociale. Comprendre l'économie sociale. Fondements et enjeux, Dunod, 2007
- Gilles Reydellet : directeur général de l’Union Nationale des PIMMS (Point Information Médiation Multi Services)
- Jean Sammut : mutualiste, président de l’Institut Polanyi France
- Pierre Valentin : directeur financier du Crédit Coopératif
Mots clés
Thèmes
Sur le même thème
- L’économie sociale dans les services de proximité: pionnière, partenaire
- L’entrepreneuriat social: du marché public au public marché
- Les banques coopératives et mutualistes entre concurrence et solidarité: la confiance au centre d’un modèle alternatif de compétitivité?
- Redécouvrir la source autogestionnaire de l’innovation sociale
- La gestion de la relation adhérent: un défi mutualiste