L’emploi privé non lucratif sanitaire et social en berne
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Pour la dixième fois, un bilan de l’emploi privé non lucratif sanitaire et social est présenté de façon conjointe par le Centre de ressources DLA (Dispositif local d’accompagnement social, médico-social et de santé), organisme porté par l’Uniopss, et l’association Recherches & Solidarités. Pour la première fois, l’emploi ne progresse pas dans le secteur. Après une augmentation de 7 % entre 2009 et 2017, l’emploi privé non lucratif, tous secteurs confondus du sanitaire et social, enregistre une baisse nette de 1 % entre 2017 et 2018, s’établissant à 1,125 million de salariés en 2018 (soit 58 % de l’ensemble de l’emploi privé non lucratif en France).
La quasi-totalité du secteur est concernée par cette tendance baissière, comme le montrent les chiffres de l’Insee, qui détaille 17 catégories pour le secteur sanitaire et social privé. L’aide à domicile, qui rassemble près de 175 000 salariés, enregistre la baisse la plus significative : 1,3 % entre 2017 et 2018. Les effectifs dans les structures pour personnes âgées connaissent également en 2018 une baisse ou une moindre hausse par rapport à celle de 2017, qu’elles relèvent de l’hébergement médicalisé (-0,7 %), de l’hébergement social (-0,2 %) ou de l’action sociale sans hébergement (+0,9 % entre 2017 et 2018 contre +3,6 % entre 2016 et 2017). La concurrence avec le secteur privé lucratif, les difficultés de recrutement et les tensions sur l’emploi associatif en général contribuent à expliquer ce phénomène.
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