La Scop, une alternative pour les salariés? Colloque FO-Paris-27/06/2014
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La Société Coopérative et Participative (SCOP) est une société commerciale, société anonyme ou société à responsabilité limitée. Soumise à l’impératif de rentabilité comme toute entreprise, elle bénéficie d’une gouvernance démocratique et d’une répartition des résultats favorisant la pérennité des emplois et du projet d’entreprise.
Les salariés-coopérateurs y sont associés majoritaires et détiennent au moins 51% des parts sociales et 65% des droits de vote.
Par ailleurs, quelle que soit la quantité du capital détenu, chaque coopérateur ne dispose que d'une seule voix lors de l'assemblée générale de l'entreprise.
La répartition des bénéfices est limitée pour les actionnaires (1/3), répartie envers les salariés (au moins 25%) et affectée aux réserves à hauteur minimum de 16%.
La majorité des SCOP résulte d’une création pure mais une part importante est issue soit d’une transmission d’entreprise, soit de la reprise d’une entreprise en difficulté.
En 2012, il existait environ 2 200 coopératives qui employaient environ 45 000 salariés. Leur taille varie de moins de dix salariés (60%) à plus de dix salariés (40%) et certaines ont 250 salariés et plus (1%). Il s’en crée au quotidien et leur pérennité à trois ans est bien supérieure (81,5%) à celle des entreprises «classiques» (66%).
Les salariés sont des sociétaires mais sont aussi et d’abord des salariés et pour quelques-uns des militants.
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