La République coopérative, Jean-François Draperi, Larcier, oct 2012

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Larcier édite en ce mois d'octobre le dernier livre de Jean-François Draperi, la République coopérative. Présent dans le monde entier, riche d’une histoire bi-séculaire, le mouvement coopératif est d’une grande diversité. Celle-ci se révèle également être une difficulté lorsqu’il s’agit de définir un cap et élaborer une stratégie. Au début du XIXe siècle, les coopérateurs ont cru pouvoir changer le monde en libérant le travail. Au début du XXe siècle, c’est en tant que consommateurs qu’ils pensaient dépasser le capitalisme. En ce début du XXIe siècle, nos sociétés malmenées attendent que de nouvelles relations, plus équitables, soient définies entre travailleurs et consommateurs. Riche de son expérience, le mouvement coopératif est en capacité de répondre à ce besoin. Un double défi l’attend : dépasser les logiques propres aux nombreuses fédérations centrées sur leurs propres objets (le travail, la production agricole, l’artisanat, le crédit, le commerce, l’agroalimentaire, etc.) ; et convaincre non seulement les coopérateurs, mais la société dans son ensemble. Pour y parvenir, le mouvement coopératif n’a d’autre choix que de penser une théorie socio-économique nouvelle, alternative au libéralisme. L’actualité du propos et une bibliographie inédite intéresseront les membres, cadres et dirigeants, de coopératives et d’associations, les collectivités locales et territoriales, les économistes, mais également les professeurs, les chercheurs et les étudiants spécialisés en économie.

Au sommaire :

Préface de : Jean-Claude Detilleux, Pauline Green

Introduction : une tradition délaissée et éclairante

1825 - 1895. La république des travailleurs

1889 - 1935 La république des consommateurs

1900 - 1970. La république coopérative aux prises avec la société

1935-1980. L’abandon de la république des consommateurs

1943-1980. La république coopérative pour le développement

Méso-république ou capitalisme coopératif : un risque d’éclatement du mouvement coopératif ?

Conclusion générale : la voie coopérative du changement social et économique

Annexes

Bibliographie