Des aides territoriales plutôt que les dispositifs de l’État

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Depuis la crise sanitaire, nombre d’associations semblent trouver les dispositifs d’État peu adaptés ou insuffisants : elles se tournent naturellement vers les aides territoriales,  plus proches de leurs spécificités. Une association sur deux prévoit désormais de solliciter un soutien de la part de sa région, de son département ou encore de son intercommunalité, alors que les prévisions pour le recours aux aides de l’État (délai de paiement et fonds de solidarité) restent stables. L’enquête réalisée par le Mouvement associatif en juin 2020 montre ainsi une attente désormais égale envers les collectivités locales et l’État. Parmi les autres enseignements, on note, grâce aux réponses de plus de 12 000 associations, la grande difficulté d’activation des aides existantes par les très petites structures, et une possibilité de dépôt de bilan pointée par 2 % des répondants, ce qui correspondrait à la disparition de 30 000 associations. Rappelons qu’en moyenne 68 % des associations ont été quasiment à l’arrêt durant le premier confinement (moins de 20 % de l’activité habituelle maintenue).