Les coopératives symbolisent l'espoir de vivre le travail autrement

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Une entreprise avec un petit supplément d’âme. Voilà comment, en écoutant Arnault Leroy, on pourrait définir une coopérative. Cofondateur d’AlterBative, une société coopérative et participative (Scop) spécialisée dans l’écoconstruction en Poitou-Charentes, ce trentenaire se réjouit de cette structure où « tout le monde a son mot à dire lorsque des décisions sont à prendre », et dans laquelle « on est plus qu’un simple salarié. »

Déjà, voici quelques années, tout juste diplômé d’un master en intégration de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables dans la conception des bâtiments, il était entré dans le monde professionnel en rejoignant une coopérative d’activités et d’emploi (CAE). Une telle structure lui avait permis d’être tout à la fois entrepreneur – il avait lancé une activité de conseil en architecture bioclimatique – et salarié, et de mutualiser la gestion administrative et comptable avec les autres porteurs de projet présents au sein de la CAE.

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