« Les coopératives, acteurs de l’économie sociale »

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La lettre du GNC de septembre 2009 s’ouvre par cet important édito du président du Groupement national de la coopération. « Démissionner du Ceges ne veut pas dire renoncer à sa place dans l’économie sociale […] bien au contraire » écrit M. Detilleux. « Les crises financière, économique, sociétale récentes ont conforté notre confiance dans la pérennité et la validité de notre système. [… Les coopératives] obéissent à des principes intangibles de démocratie, de solidarité, d’affectation des résultats et de constitution d’assises financières, de pérennité, d’engagement envers la communauté et le développement des territoires dans lesquels elles sont implantées. Nous ne pratiquons pas une économie égoïste, spéculative, régie par la loi du plus fort et nous sommes soucieux d’être des acteurs responsables au sein de la société. Inscrites dans nos statuts, Ces valeurs et règles de fonctionnement, nous les partageons avec les mutuelles et les associations. Inscrites dans nos statuts, elles sont fondatrices de notre identité. C’est cela l’économie sociale pour le GNC » qui n’entend toutefois pas se laisser distancer dans la dynamique institutionnelle et politique autour du concept d’entreprenariat social. Le GNC souhaite ainsi « créer des ponts avec ceux qui développent un modèle entrepreneurial qui cherche à préserver l’équilibre entre efficacité économique et progrès social et qui partagent nos valeurs fondamentales de démocratie et de partage des richesses. » Des « Rencontres de la coopération » annoncées pour l’automne 2010 devraient permettre de préciser davantage le positionnement de la coopération.