La nouvelle gouvernance de la MGEN répond à la diversification du sociétariat
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Depuis sa fondation en 1946 par un groupe d’instituteurs syndicalistes, la MGEN a vu son sociétariat évoluer. Elle n’est plus la mutuelle exclusive des personnels de l’Éducation nationale depuis qu’elle s’est ouverte « aux services ministériels qui en dépendent ou en sont issus », ainsi qu’à la Recherche, à l’Enseignement supérieur, la Jeunesse et les Sports, et à l’Environnement. Peuvent également adhérer à la MGEN les employés des établissements « publics ou privés fonctionnant en majorité avec des fonds publics ou ayant une vocation de recherche, pédagogique et/ou culturelle ». En outre, depuis la mise en place de l’Accord national interprofessionnel (ANI) en 2013, les contrats collectifs sont venus s’ajouter aux contrats individuels.
La MGEN se devait d’intégrer ces nouveaux paramètres dans la structure de sa gouvernance. En ce début d’année 2021, 600 délégués se sont rassemblés à distance pour acter deux modifications essentielles : en premier lieu, la réduction du nombre des délégués de 552 à 500 et du nombre des administrateurs de 48 à 21 d’ici à 2025 ; en second lieu, la création de trois collèges correspondant aux trois catégories d’adhérents : les fonctionnaires, les contrats collectifs et les individuels non-fonctionnaires.
Ces dispositions devraient entrer en vigueur après leur approbation par l’assemblée générale en juin prochain. Après la fusion de Filia Maif au sein de la Maif en janvier, elles s’inscrivent dans un processus d’effacement identitaire du mutualisme enseignant et plus généralement de dilution des identités professionnelles du mutualisme.
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