La finance solidaire en bonne santé
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Selon les chiffres du 15 e baromètre de la finance solidaire, publié par La Croix et l’association Finansol, la quantité d’argent investie dans les produits d’épargne solidaire au 31 décembre 2016 s’élevait à 9,8 milliards d’euros, un chiffre en hausse de 15,5 % sur un an. Cet encours total de près de 10 milliards d’euros a permis de générer 280 millions d’euros de financement solidaire qui ont appuyé la création et le développement d’associations et d’entreprises utiles à la collectivité (49 000 emplois ont été créés ou consolidés, 5 500 personnes à faibles ressources ont été logées, etc...). Autre caractéristique de cette finance solidaire : elle accompagne des structures jeunes. Parmi les 1 200 entreprises financées en 2016, 50 % avait moins de trois ans, et 25 % moins d’une année d’existence.
Parallèlement, le baromètre pointe que « seulement » 196 000 produits d’épargne solidaire ont été souscrits en 2016, ce qui est inférieur aux souscriptions de l’an dernier. Quant aux sommes déposées sur ces placements, elles s’élèvent à 1,3 milliard d’euros contre 1,6 milliard en 2015. Autrement dit, le stock d’épargne solidaire est en hausse, mais le mouvement de souscription s’est quelque peu tassé. Une tendance qui pourrait bien s’inverser si Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances, met correctement en œuvre la transformation du Livret développement durable (LDD) en Livret développement durable et solidaire (LDDS). Prévue par la Loi Sapin 2, le LDDS offrirait ainsi la possibilité aux épargnants de consacrer, chaque année, une partie de leur épargne soit à une structure de l’ESS, soit à une structure de financement ou de crédit du secteur.
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