Des autopartages conduits par des coopératives

Toute la Recma

  • 2010
    • 2019
    • 2018
    • 2017
    • 2016
    • 2015
    • 2014
    • 2013
    • 2012
    • 2011
    • 2010
  • 2000
    • 2009
    • 2008
    • 2007
    • 2006
    • 2005
    • 2004
    • 2003
    • 2002
    • 2001
    • 2000
  • 1990
    • 1999
    • 1998
    • 1997
    • 1996
    • 1995
    • 1994
    • 1993
    • 1992
    • 1991
    • 1990
  • 1980
    • 1989
    • 1988
    • 1987
    • 1986
    • 1985
    • 1984
    • 1983
    • 1982
    • 1981
    • 1980
  • 1970
    • 1979
    • 1978
    • 1977
    • 1976
    • 1975
    • 1974
    • 1973
    • 1972
    • 1971
    • 1970
  • 1960
    • 1969
    • 1968
    • 1967
    • 1966
    • 1965
    • 1964
    • 1963
    • 1962
    • 1961
    • 1960
  • 1950
    • 1959
    • 1958
    • 1957
    • 1956
    • 1955
    • 1954
    • 1953
    • 1952
    • 1951
    • 1950
  • 1940
    • 1949
    • 1948
    • 1947
    • 1946
    • 1945
    • 1944
    • 1943
    • 1942
    • 1941
    • 1940
  • 1930
    • 1939
    • 1938
    • 1937
    • 1936
    • 1935
    • 1934
    • 1933
    • 1932
    • 1931
    • 1930
  • 1920
    • 1929
    • 1928
    • 1927
    • 1926
    • 1925
    • 1924
    • 1923
    • 1922
    • 1921
    • 1920

Pour louer des voitures en libre-service, plusieurs collectivités apprécient un statut juridique original : la société coopérative d'intérêt collectif (Scic), qui permet de réunir usagers et salariés autour du projet.

Se partager quelques voitures entre habitants, plutôt que de posséder chacun son propre véhicule et ses contraintes ? A Bordeaux, l'idée a germé entre citoyens ; elle a pris corps, dès 2001, sous la forme d'une association. Cinq ans plus tard, cependant, les bénévoles n'avaient encore rassemblé que 30 adhérents, autour de trois voitures... Ils sont parvenus à relancer leur "autopartage" en adoptant un nouveau statut : la société coopérative d'intérêt collectif (Scic). "Il s'agit d'une entreprise privée, mais à but non-lucratif", explique son directeur, Nicolas Guenro. "Et la Scic est parfaite pour mettre en lien un projet avec son territoire, et en y impliquant l'ensemble des acteurs concernés, qu'ils soient publics ou privés !" Désormais, Autocool compte 1.100 utilisateurs et 45 véhicules...

Lire la suite de l'article d'Olivier Bonin pour Localtis