Loi sur les associations en Algérie : l'Etat recule-t-il?

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Les pressions européennes auraient-elles fait plier le gouvernement algérien ? Contrariées par la loi n° 12-06 du 12 janvier 2012, qui restreint et pénalise l’exercice de la liberté d’association, les capitales européennes ont semble-t-il fait parvenir leur mécontentement aux oreilles du gouvernement algérien. C’est ce que croit savoir le quotidien L’Expression, selon lequel le bureau de l’APN a accepté la proposition portant sur l’amendement de la loi en question.

L’Expression assure que Larbi Ould Khelifa a donné dimanche son accord pour transmettre le projet d’amendement au bureau de l’APN. Le projet a été déposé par l’Alliance Algérie verte et défendu par plusieurs formations politiques. Selon la vice présidente de l’APN, Salima Othmani, citée par L’Expression, cet amendement porte sur le traitement des organisations non gouvernementales (ONG) et sur les associations à caractère religieux. 

[...]

Adoptée le 12 janvier 2012, la loi n° 12-06 est vivement critiquée par les associations algériennes et étrangères. En particulier, les acteurs de la société civile dénoncent une forte restriction de la liberté de réunion et d’association pacifiques, pourtant garantie par la Déclaration universelle des droits de l’Homme. « C’est une loi liberticide qui porte atteinte à l’existence même de la société civile algérienne. Elle reflète dans ses dispositions une volonté manifeste de mettre au pas toute la société », pouvait-on lire dans un communiqué publié en janvier 2014 par le collectif pour l’abrogation de la loi.

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