La relation entre l’associé-coopérateur et sa coopérative ne relève pas du droit commercial
Actu
Agenda
Base Doc
Toute la Recma
- 2010
- 2019
- 2018
- 2017
- 2016
- 2015
- 2014
- 2013
- 2012
- 2011
- 2010
- 2000
- 2009
- 2008
- 2007
- 2006
- 2005
- 2004
- 2003
- 2002
- 2001
- 2000
- 1990
- 1999
- 1998
- 1997
- 1996
- 1995
- 1994
- 1993
- 1992
- 1991
- 1990
- 1980
- 1989
- 1988
- 1987
- 1986
- 1985
- 1984
- 1983
- 1982
- 1981
- 1980
- 1970
- 1979
- 1978
- 1977
- 1976
- 1975
- 1974
- 1973
- 1972
- 1971
- 1970
- 1960
- 1969
- 1968
- 1967
- 1966
- 1965
- 1964
- 1963
- 1962
- 1961
- 1960
- 1950
- 1959
- 1958
- 1957
- 1956
- 1955
- 1954
- 1953
- 1952
- 1951
- 1950
- 1940
- 1949
- 1948
- 1947
- 1946
- 1945
- 1944
- 1943
- 1942
- 1941
- 1940
- 1930
- 1939
- 1938
- 1937
- 1936
- 1935
- 1934
- 1933
- 1932
- 1931
- 1930
- 1920
- 1929
- 1928
- 1927
- 1926
- 1925
- 1924
- 1923
- 1922
- 1921
- 1920
Par une ordonnance d’avril 2019, faisant suite à la loi EGalim, le gouvernement avait reconnu aux associés-coopérateurs et au ministre de l’Économie la possibilité d’agir en justice contre les coopératives agricoles fixant une rémunération des apports à un prix abusivement bas. Or, dans un arrêté du 24 février 2021, le Conseil d’État donne raison à Coop de France, qui reprochait à cette ordonnance d’assimiler la relation entre l’associé coopérateur et sa coopérative à une relation commerciale. L’autre motif qui plaide pour la suppression de cette mesure gouvernementale est que celle-ci tend à remettre en cause le principe de solidarité entre les associés : si une coopérative devait payer des pénalités à un coopérateur, tous les associés seraient pénalisés.
Mots clés
Thèmes
Sur le même thème
- Rémunération en coopératives agricoles: les dessous du débat
- Le lien coopératif au sein des sociétés coopératives
- Les actions de préférence d’une société coopérative anonyme
- Loi Egalim: quel avenir pour les spécificités des coopératives agricoles? Une lecture juridique de dispositifs entre renforcement du secteur et banalisation
- L’usage du numérique, facilitateur de la gouvernance? Le cas des coopératives agricoles