La feuille de route de Marlène Schiappa face aux attentes de l’ESS
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Olivia Grégoire ayant été nommée ministre déléguée aux PME, au Commerce, à l’Artisanat et au Tourisme (à la satisfaction de la Fédération du Commerce coopératif et associé), Marlène Schiappa devient l’interlocutrice gouvernementale de l’ESS de par sa nomination au poste de secrétaire d’État auprès de la Première ministre chargée de l’économie sociale et solidaire et de la vie associative, deux secteurs relevant respectivement de la responsabilité du ministre de l’Économie et des Finances, et du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse dans le précédent gouvernement. Outre la promotion de l’ESS, au cœur de ses missions, elle doit « inciter à la consommation sociale, solidaire et durable », et en lien avec le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ainsi que les autres ministres compétents, travailler « au développement de la vie associative ».
Adressant ses félicitations à la nouvelle secrétaire d’État par la voix de son président Jérôme Saddier, ESS France n’a pas manqué de souligner que « prometteuse à bien des égards, l’ESS souffre néanmoins d’un écosystème territorial insuffisant et trop peu soutenu par la puissance publique. Ceci bride aujourd’hui le pouvoir d’agir des citoyens et prive notre pays de l’extension de solutions qui ont pourtant fait leurs preuves. Leurs initiatives méritent d’être encouragées à la hauteur des défis que notre pays doit relever ». Et de rappeler le plan d’action pour l’ESS de la Commission européenne, ainsi que les textes adoptés par l’OIT et l’OCDE en juin dernier, éclairant la portée internationale de l’ESS.
Le 15 septembre dernier, Marlène Schiappa a annoncé que les PTCE (pôles territoriaux de coopération économique) bénéficieraient d’un apport de 2,5 millions d’euros, afin de soutenir le maintien de l’emploi dans les territoires en favorisant la coopération entre les acteurs économiques, associatifs et les collectivités territoriales. En dehors de cette mesure concrète, la secrétaire d’État a souligné son intention de prendre en compte l’ESS dans toutes les instances publiques (en réponse au plaidoyer politique d’ESS France) et envisagé diverses actions, comme de promouvoir le bénévolat par un diplôme via la validation des acquis par l’expérience. Le Conseil supérieur de l’ESS sera mis en place avant le lancement du mois de l’ESS.
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