Des JO inclusifs et solidaires

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Les JO de 2024 seront-ils exemplaires sur le plan écologique et quant à la mise en œuvre de mécanismes vertueux de l’ESS ? La convention signée en mai 2018 entre Anne Hidalgo, maire de Paris et présidente de la Solideo (Société de livraison des équipements olympiques), Tony Estanguet, président de Paris 2024, l’homme d’affaires Muhammad Yunus, prix Nobel de la paix 2006, et Éric Pliez, président des Canaux (la maison de l’économie sociale et solidaire à Paris), suscite des attentes. Quatre-vingt-treize acteurs et réseaux de l’ESS de Seine-Saint-Denis rappellent dans une tribune que, si l’objectif de ces premiers JO inclusifs et solidaires est de créer une passerelle entre l’événement sportif et le monde de l’entrepreneuriat social à l’échelle du Grand Paris, 80 % des équipements se situeront dans leur département. Certes, des mesures sont déjà prévues par Solideo : 10 % des heures de travail sur la quarantaine de chantiers liés aux jeux devront être effectuées par des personnes en insertion, et 25 % des marchés seront réservés aux PME et aux entreprises de l’économie sociale et solidaire. Une plateforme numérique, Impact 2024, a été lancée en novembre afin de permettre aux postulants de s’informer sur les marchés et d’y répondre avec des cotraitants.
Les acteurs de l’ESS en Seine-Saint-Denis souhaitent cependant faire un pas de plus en allant vers « des JO 2024 véritablement solidaires qui participeront à la transformation du département au taux de pauvreté le plus élevé de France », notamment en prenant appui sur les dynamiques de coopération déjà enclenchées par les réseaux de l’ESS, les PTCE (pôles territoriaux de coopération économique) du territoire et la marque #InSeineSaintDenis.