Quand le numérique devient social et solidaire

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L’univers numérique serait-il un terreau propice pour l’économie sociale et solidaire ? Certaines coopératives le croient et tentent de combiner les nouvelles technologies avec une économie véritablement basée sur le partage.

L’économie sociale et solidaire (ESS) est « trop peu présente » dans l’économie numérique, a déclaré Thierry Jeantet, président des Rencontres du Mont-Blanc, lors d’un symposium sur l’économie sociale et la finance solidaire qui se tenait à l’Université du Québec à Montréal le 4 février dernier.

« L’économie numérique est forcément un terrain favorable à la participation, à la collaboration et à la coconstruction. Je regrette effectivement que, dans les organisations qui façonnent les échanges sur Internet, l’économie sociale et solidaire soit aussi peu présente », a ensuite précisé celui qui est à la tête du Forum international des dirigeants de l’ESS, en entrevue avec Le Devoir. « Il y a bien sûr toute sorte d’associations informelles qui se constituent, mais je pense que l’économie sociale et solidaire devrait réfléchir à l’évolution de la Toile et de ses échanges, de façon à rendre ces derniers plus citoyens et moins phagocytés par le système commercial traditionnel. »

Qu’en est-il au Québec ? Plusieurs entreprises de l’ESS ont créé ou développé des sites transactionnels adaptés à leur mission. Par exemple, la coopérative La Mauve, regroupant une quarantaine de fermiers et de maraîchers de la région de Chaudière-Appalaches, a inauguré en 2014 un site permettant aux clients de commander leur panier d’aliments et d’en déterminer la composition en ligne. Le Chantier de l’économie sociale, pour sa part, a lancé en 2013 Commerce solidaire, un site transactionnel de regroupement d’achats pour 350 entreprises d’économie sociale. Les transactions effectuées à l’aide de cette plateforme totalisent maintenant plus de trois millions de dollars par année.

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