L'habitat participatif, une autre façon de bâtir sa vie

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Des expériences, encore en nombre limité en France mais plus développées dans d’autres pays, montrent qu'il est possible d'avoir un logement qui corresponde à la fois à ses besoins, à ses moyens financiers et à un projet de vie avec ses voisins et son quartier.

Un terme nouveau est entré discrètement dans le vocabulaire relatif au logement: le qualificatif «participatif». On le  trouve dans la loi ALUR adoptée en février dernier et dans trois projets que la ville de Paris, après d’autres, est en train de monter. De quoi s’agit-il? L’habitat participatif peut se définir comme un groupement de ménages mettant en commun leurs ressources et leurs idées pour concevoir, réaliser et financer  leur logement au sein d’un bâtiment collectif ou d’un ensemble de bâtiments. C’est en somme une troisième voie entre la construction de sa maison individuelle et la location ou l’achat d’un appartement dans un immeuble collectif conçu et construit par un organisme de logement social ou un promoteur privé. On est chez soi, on mène sa vie comme on l’entend tout  en partageant des espaces communs avec les autres acteurs de ce projet. Et on ne participe pas à ce genre d’opération dans le but de s’enrichir en revendant ses parts sociales. En cela, le logement participatif est plus qu’une solution  à un problème de logement, c’est aussi une façon de vivre.

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