Les salariés de Nice-Matin obtiennent la gestion de leur journal

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Le tribunal de commerce de Nice a choisi la coopérative des salariés pour reprendre le quotidien.

 

Lorsque les magistrats entrent dans la salle d'audience du tribunal de commerce de Nice ce vendredi matin, un silence oppressé se fait. Au premier rang, Jean-François Roubaud, délégué SNJ, s'immobilise. Cela fait de longues minutes qu'il se mangeait le pouce, ne pouvait réprimer le battement compulsif de ses jambes après six mois passés à se battre pour que ses camarades et lui obtiennent la reprise de leur quotidien en redressement judiciaire. Le président ne fait pas trop durer le suspens. Il annonce pour commencer les recalés. Les offres du groupe Rossel (La Voix du Nord), qui prévoyait 376 départs, et celle de Georges Ghosn (ex-propriétaire de France-Soir), sont rejetées. La reprise du journal est officiellement octroyée à la Scic (Société coopérative d'intérêt collectif) Nice-Matin, montée par les salariés.

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